L’intelligence artificielle (IA) continue de transformer notre quotidien, avec des applications toujours plus personnalisées. Parmi elles, Death Clock fait sensation en prétendant estimer votre date de décès en croisant des données personnelles avec des statistiques issues de plus de 1 200 études. Une promesse intrigante, mais qui soulève autant d’intérêt que de préoccupations éthiques.
Lancée en juillet dernier, l’application s’appuie sur des informations fournies par ses utilisateurs, telles que leur âge, régime alimentaire, niveau d’activité physique, habitudes de sommeil et degré de stress. Ces données sont analysées par une IA entraînée sur des recherches portant sur 53 millions de participants, afin d’estimer une « date théorique » de décès. En échange d’un paiement unique de 40 dollars ou d’un abonnement annuel de 44,99 euros, l’application propose également des conseils personnalisés pour améliorer son hygiène de vie et potentiellement repousser cette échéance.
Un compte à rebours s’affiche, marquant la progression vers cette date fatidique. Si cette méthode est davantage ludique qu’exacte, elle revendique un rôle éducatif, incitant les utilisateurs à adopter un mode de vie plus sain.
Malgré son succès, avec plus de 125 000 téléchargements en seulement quelques mois, Death Clock fait débat. Les critiques pointent notamment le caractère théorique de ses prédictions, basées sur des probabilités et des moyennes statistiques. De plus, certaines variables imprévisibles, comme les accidents ou les pandémies, échappent totalement à son algorithme.
Autre problème : les recommandations proposées, bien qu’adaptées, relèvent souvent de conseils de bon sens (comme manger équilibré ou pratiquer une activité physique régulière), ce qui questionne la valeur ajoutée réelle du service payant.
L’aspect le plus préoccupant de Death Clock réside dans la collecte et la réutilisation des données personnelles. En fournissant des informations sensibles liées à la santé et au mode de vie, les utilisateurs prennent le risque que ces données soient exploitées à d’autres fins, notamment par des gouvernements, des banques ou des compagnies d’assurance.
Ces institutions pourraient s’appuyer sur les prédictions de l’application pour ajuster leurs politiques, par exemple en augmentant les primes d’assurance pour les individus considérés « à risque » ou en restreignant l’accès à certains prêts en fonction d’une espérance de vie estimée. Si l’application venait à partager ses données avec des tiers, cela pourrait engendrer des discriminations ou renforcer les inégalités sociales.
Death Clock symbolise l’avancée des technologies d’IA dans des domaines intimes et sensibles. Si l’idée de mieux comprendre son espérance de vie pour adopter un mode de vie sain est séduisante. Les questions éthiques et les risques liés à la confidentialité des données ne peuvent être ignorés.
Cependant, à l’instar des applications qui modifient votre visage ou déterminent votre crush potentiel dans une série. Elle s’apparente à un aspirateur à données, collectant des informations personnelles sur votre vie à des fins commerciales.
Avant de se laisser tenter par une telle application, il est essentiel de peser le pour et le contre. Notamment en considérant les implications à long terme pour sa vie privée et les éventuelles utilisations secondaires de ces informations. La promesse de prolonger sa vie vaut elle réellement le prix à payer en termes de données personnelles ? Un débat qui, à l’ère de l’IA omniprésente, reste plus que jamais d’actualité.
L’été est enfin arrivé, et avec lui, l’envie de se détendre sur des plages ensoleillées, ou de profiter de moments en famille à la montagne. Cependant, à l’ère des réseaux sociaux, où partager ses expériences et ses moments de bonheur est devenu une habitude. Il est essentiel de rester vigilant. Partager des informations sur vos dates de vacances peut sembler inoffensif. Mais cela peut en réalité vous exposer à des risques importants, notamment celui des cambriolages.
Lorsque vous partagez des informations personnelles telles que vos dates de départ en vacances ou votre emplacement actuel sur des plateformes comme Facebook, Instagram, ou autre, vous ne vous adressez pas seulement à vos amis et à votre famille. En fonction de vos paramètres de confidentialité, ces informations peuvent être accessibles à un public beaucoup plus large, y compris à des personnes mal intentionnées.
Les cambrioleurs modernes utilisent de plus en plus les réseaux sociaux pour repérer les maisons inoccupées. Savoir que vous serez absent pendant une période donnée peut les inciter à cibler votre domicile. C’est pourquoi il est crucial de faire preuve de prudence et de discrétion en ligne.
Pour vous aider à passer des vacances sereines et sans mauvaises surprises, voici quelques conseils pratiques par l’agence Lapostolle :
Partager les moments inoubliables de vos vacances avec vos proches est tout à fait naturel. Cependant, il est beaucoup plus sûr de le faire après votre retour. Vous pourrez ainsi profiter pleinement de votre voyage sans avoir à vous soucier de la sécurité de votre domicile.
Rappelez-vous que la prudence est de mise, surtout à l’ère numérique où les informations circulent rapidement et peuvent être exploitées par des personnes mal intentionnées.
Toute l’équipe de l‘Agence Lapostolle vous souhaite un été rempli de découvertes, de détente, et de moments précieux en famille ou entre amis. Profitez de chaque instant, et n’oubliez pas de rester vigilant quant à la protection de votre domicile.
Pour commencer, vous n’êtes pas sans savoir que les réseaux sociaux ont radicalement changé la façon dont les entreprises interagissent avec leurs clients. Car ils offrent la possibilité de communiquer directement avec votre audience et aussi de promouvoir votre entreprise. C’est pourquoi il est important d’utiliser les réseaux sociaux pour promouvoir votre entreprise.
Dans cet article, nous allons vous expliquer comment utiliser les réseaux sociaux pour promouvoir votre entreprise et toucher une audience plus large.
Pour commencer, il est important de choisir les bons réseaux sociaux pour votre entreprise, ceux qui vous seront utiles. Il n’est pas nécessaire de s’inscrire sur tous les réseaux sociaux disponibles. Identifiez plutôt les réseaux sociaux que votre audience utilise le plus souvent et concentrez-vous sur eux, en créant du contenu qui plait et qui vous ressemble.
De plus, votre profil doit être cohérent sur tous les réseaux sociaux que vous utilisez. Assurez-vous que votre nom d’utilisateur, votre photo de profil et votre description sont les mêmes sur toutes les plateformes. Sans oublier votre charte graphique. Votre profil doit également être attrayant pour attirer l’attention de votre audience. Utilisez des images de qualité et une description claire pour présenter votre entreprise. N’oubliez pas d’y mettre les liens qui rédigeront vos clients vers votre site web ou vos autres réseaux sociaux.
Aussi, pensez à publier régulièrement du contenu sur vos réseaux sociaux pour maintenir l’intérêt de votre audience. La fréquence de publication dépend de la plateforme et de votre audience, mais en général : publiez au moins une fois par semaine pour rester visible.
Bien entendu, il est tout à fait normal de ne pas savoir comment promouvoir son business avec les réseaux sociaux ou tout simplement ne pas avoir le temps. C’est pourquoi faire appel à une agence web peut vous servir et être bénéfique pour vous et pour vos résultats.
Les agences web spécialisées dans la gestion des réseaux sociaux disposent d’une expertise et d’une expérience dans le domaine. Ils ont une connaissance approfondie des différentes plateformes sociales et de leur fonctionnement. Ils sont également capables d’élaborer des stratégies de marketing efficaces pour atteindre vos objectifs commerciaux.
Gérer efficacement les réseaux sociaux nécessitent beaucoup de temps et d’efforts. En confiant cette tâche à une agence web, vous pouvez vous concentrer sur d’autres aspects de votre entreprise. L’agence se chargera de créer, planifier et publier du contenu sur vos plateformes sociales.
Les réseaux sociaux évoluent rapidement et de nouvelles fonctionnalités sont régulièrement introduites. En travaillant avec une agence web, vous pouvez être sûr que vous êtes toujours à jour avec les dernières tendances et les meilleures pratiques.
Engager une agence web peut sembler coûteux, mais cela peut surtout vous faire économiser de l’argent à long terme. En outre, externaliser cette tâche peut également réduire les coûts liés à l’embauche d’un employé en interne pour gérer vos réseaux sociaux.
En fin de compte, engager une agence web pour gérer vos réseaux sociaux peut offrir de nombreux avantages pour votre entreprise. Il est important de choisir une agence avec une solide réputation et une expérience avérée dans le domaine. En suivant ces conseils, vous pouvez utiliser les réseaux sociaux pour renforcer la présence de votre entreprise en ligne et atteindre vos objectifs de marketing.
Facebook occupe une grande place sur internet, et Mark Zuckerberg le fait maintenant entrer dans une nouvelle ère : le métaverse.
Tout d’abord, qui aurait pu prévoir qu’une expérience sociale universitaire en 2004 aurait créé le réseau social comptant près de 3 milliards d’utilisateurs ?
Certainement pas Mark Zuckerberg.
Depuis, Facebook est le réseau social connu de tous. L’histoire de la fondation de ce géant a été racontée dans le film « The Social Network » réalisé par David Fincher.
Cette nouvelle ère s’appelle Meta : mais alors ça veut dire quoi ?
Vous l’aurez compris, Facebook voit plus grand et souhaite que tout le monde le sache. Le fondateur n’ayant plus qu’une lubie : réinventer Internet avec le métaverse.
Si vous êtes amateur de film, notamment de « Ready Player One » de Steven Spielberg, vous savez de quoi il est question : les métaverses sont l’équivalent de l’OASIS du film.
Pour ceux qui n’auraient pas vu ce fameux film, imaginez les métaverses comme une doublure du monde physique accessible par internet et des interfaces dans lesquelles on devrait exister en tant qu’avatar. Facebook l’imagine comme un « internet incarné », votre avatar pourrait par exemple aller à la boulangerie ou alors danser en boite de nuit, le but étant d’avoir une vie sociale numérique bien remplie.
En effet, les géants du web et du jeu vidéo voient le métaverse comme l’un des plus gros progrès technologiques dans l’évolution d’Internet.
Alors, Facebook invente son propre monde virtuel avec ses règles et paramètres bien à lui.
Aujourd’hui il est possible de vivre des expériences liées au métaverses bien que celles-ci soient encore limitées. Comme conduire un bolide ou encore un vaisseau spatial. Soyons fous, tout sera possible désormais.
C’est pourquoi, Facebook et la célèbre marque Ray-Ban ont travaillé ensemble pour lancer une paire de lunettes connectées, qui permet de prendre des photos ou vidéos pour ensuite se connecter à un réseau social.
D’autres marques s’y intéressent notamment : Nike, Gucci, Zara, Adidas, Burberry et bien d’autres encore…
Facebook espère ainsi se familiariser avec ce nouveau monde numérique afin que de nouveaux consommateurs s’intéressent à ce genre d’accessoires.
Alors, ce monde virtuel peut vous paraître effrayant et nous sommes justement là pour vous guider.
Avec ses 2 milliards d’utilisateurs dans le monde en 2020, WhatsApp fait partie des applications de chat en temps réel les plus utilisées. Il est donc probable que beaucoup de membres de votre entourage et vous-même l’utilisent. Mais comment est née cette application ?
L’idée est née de Jan Koum à la fin des années 2000. Cet homme a grandi à Kiev en Ukraine, à l’époque rattachée à l’URSS. Il se souvient alors de ses parents qui évitaient à tout prix les conversations téléphoniques, car surveillées par les autorités soviétiques. Son but est alors de créer une application dont l’inscription ne demande qu’un numéro de téléphone. Ainsi, pas de profil qui puisse être revendu ni de messages stockés sur l’appareil, donc sujets à surveillance. Il crée ainsi l’application WhatsApp, mélange de « What’s Up » (quoi de neuf) et « App » (application), le 24 février 2009.
WhatsApp arrive sur le marché en même temps que bien d’autres, comme Facebook Messenger ou ChatON. Elle a toutefois su se démarquer par sa simplicité. Son absence de publicité joue également en sa faveur. Le bouche-à-oreille fait ensuite son travail, et l’application se répand très vite. En 2014, WhatsApp compte 450 millions d’utilisateurs et le nombre de messages échangés quotidiennement sur l’application s’approche du nombre de SMS échangés dans le monde. L’échange de photos y est également plus important que sur Snapshat ou Instagram, dont c’est pourtant l’utilité première.
En 2014, Facebook rachète WhatsApp pour 16 milliards de dollars, et Jan Koum intègre le conseil d’administration de Facebook. Mais il démissionne en 2018 suite à un désaccord au sujet de l’utilisation des données personnelles des utilisateurs. Ce qui, rappelons-le, était la source de ses motivations pour créer WhatsApp.
Par la suite, de nouvelles fonctionnalités sont proposées. Service de paiement en ligne en Inde, fonds d’écran de conversation… Des évolutions qui ont un impact sur certains. En effet, depuis cette année, WhatsApp ne fonctionne plus sur les modèles de téléphones commercialisés avant 2012. Mais avec le progrès dans le domaine, peu de gens disposent encore d’un modèle aussi ancien.
WhatsApp permet beaucoup de choses. Echange de messages, de photos, de vidéos, discussions de groupes, appels vocaux et vidéos… L’application en concurrence beaucoup d’autres. C’est sans doute pour cela qu’elle est aussi réputée, car simple d’utilisation et très pratique. Et si elle a passé le cap des 2 milliards d’utilisateurs en 2020, ce n’est pas près de s’arrêter.
WhatsApp n’a cessé de grandir depuis son lancement. Si vous demandez autour de vous, peu de gens ne l’utilisent pas, et tout le monde la connaît au moins de nom. Une chose est sûre : l’application continuera longtemps d’exister.
Cet article va vous présenter le métier de Community Manager (CM). Son profil, ses missions ou encore son salaire : nous vous disons tout.
Si le Community Manager travaille souvent en agence, il peut aussi travailler pour des annonceurs. C’est en effet lui qui s’occupe des réseaux sociaux de la marque pour laquelle il travaille. Il gère donc la communication avec les internautes et fait part à l’entreprise des réactions de sa communauté. Il est en quelque sorte l’ambassadeur de la marque en ligne.
Ses missions sont donc les suivantes :
En résumé, le Community Manager gère grandement la vie de communauté sur Internet. Il doit évidemment faire des retours à l’entreprise, qui adapte ensuite ses choix en conséquence.
Les compétences à avoir changent d’une mission à l’autre. Néanmoins, la maîtrise des réseaux sociaux est nécessaire. Il faut aussi avoir un excellent sens de la communication, une bonne culture web et des capacités de rédaction. Dans l’idéal, un bon CM dispose de notions de référencement ainsi qu’en design. Il doit aussi être une personne stratégique.
Selon les missions, il peut avoir besoin de compétences sur un domaine précis. Quoiqu’il en soit, il lui faut des compétences solides en webmarketing.
Et enfin, le CM est diplomate. Répondre aux internautes avec virulence pourrait en effet affecter l’image de la marque.
Un débutant touche environ 1500€/net par mois. Mais ce chiffre évolue avec l’expérience, surtout s’il travaille pour une marque réputée. Il peut même travailler pour une célébrité !
Ce métier vous attire ? Vous pouvez suivre une formation en communication pour devenir Community Manager.
Tout d’abord, la phrase « mes comptes web n’intéressent personne et je n’ai rien à me reprocher, mon compte ne sera jamais piraté » est totalement fausse. Bien entendu, un compte Instagram de star, d’un président… vaut plus que celui d’un citoyen « normal ». Cependant, tous les comptes sont intéressants pour un pirate.
Principalement, le pirate peut l’utiliser pour vider vos comptes bancaires. S’il dispose de votre compte E-mail, il peut demander des réinitialisations de mot de passe. Et ainsi accéder à votre compte Paypal, votre compte Amazon…
Il peut aussi se faire passer pour vous et extorquer de l’argent à vos amis. Grâce notamment à du phishing.
Il peut utiliser votre compte pour de la propagande ou des messages haineux. Il peut s’en servir pour favoriser un candidat dans une élection, en association avec des milliers d’autres comptes piratés… Ceci est courant et beaucoup de personnes possèdent des vieux comptes Twitter, Facebook… qui ont été piratés sans le savoir.
Bien entendu, si un hacker pirate les réseaux sociaux et les boites E-mail… Imaginez les soucis que cela peut engendre… Sachez que cela a déjà eu lieu plusieurs fois. Voici d’ailleurs une petite vidéo qui montre qu’il faut être vigilant.
TV5 Monde vient de se faire pirater. Ce monsieur semble surpris. Si vous n’avez rien remarqué, zoomez sur les papiers derrière lui…
Donc si vous soupçonnez d’avoir été piraté : prenez tout de suite les bonnes dispositions pour y remédier. Cependant, un pirate peut vous avoir piraté sans que vous ne le sachiez. C’est ce que nous allons voir ici.
Le site web haveibeenpwned.com vous permet de vérifier si l’un de vos comptes a déjà été piraté.
Je vous invite à entrer votre adresse e-mail habituelle, dès l’arrivée sur le site.
Si vous avez le message « Good news — no pwnage found! ». Alors félicitations ! Votre adresse e-mail n’apparaît sur aucune liste de pirates.
Pour l’exemple, j’ai mis mon adresse personnelle. Je l’utilise (trop) souvent. Mon adresse est donc dans la liste de certains pirates (comme des millions de personnes).
Sur ce site : les adresses E-mail, les mots de passe et les pseudonymes ont été piratés. J’ai donc tout intérêt à changer mon mot de passe sur ce site. MAIS pas uniquement ! Je dois aussi le changer sur tous les sites où j’utilise la même adresse (ou pseudonyme) et le même mot de passe. Car les pirates testent toutes ces combinaisons sur les sites les plus connus.
Le site haveibeenpwned.com vous permet aussi de tester votre mot de passe. Pour cela rendez-vous dans l’onglet « Passwords ». Pour ce test, j’ai utilisé le mot de passe « azerty » et voici le résultat.
Ce mot de passe a été vu 315 309 fois sur des listes piratées ! Il est donc préférable de ne pas l’utiliser. Je vous laisse tester les mots de passe « simples » pour vous rendre compte de la catastrophe. Mais je vous conseille aussi de tester le vôtre : le nom de votre chien n’est pas un mot de passe sûr ! ^^
Vous connaissez sans doute la série à succès Black Mirror produite par Netflix et actuellement disponible sur la plateforme. Surtout si vous êtes un fanatique de nouvelles technologies et d’intelligence artificielle. La série met en scène un monde où la technologie y est ultra avancée, au point où cela en devient presque effrayant. Elle a notamment pour but de nous avertir des dérives liées à la technologie. On note aujourd’hui, une dizaine de prédictions de la série qui existent déjà. Nous allons nous attarder sur trois d’entre elles.
Enregistrer tout ce que vous voyez et le visionner autant de fois que vous le voulez, va bientôt être possible. En effet, les lentilles connectées, vues dans l’épisode 3 de la saison 1 de Black Mirror, vont faire leur apparition sur le marché. En effet, depuis quelques années, Sony est en train de les développer, aux côtés de Google et Samsung, depuis peu. Cette lentille aura la capacité d’enregistrer des vidéos et de les lire à tout moment. C’est le clignement des yeux qui contrôlera les lentilles. Avec des fonctions qui se rapprochent d’un appareil photo, il sera possible de faire des autofocus et de zoomer. À la différence de Sony, Samsung et Google intégreront deux autres options à leurs lentilles de contact intelligentes. Des technologies de vision nocturne et thermique à leurs lentilles de contact intelligentes, avec de l’intelligence artificielle.
Que diriez-vous de pouvoir vous immiscer physiquement dans un jeu vidéo, à tel point que vous aurez l’impression d’y être ? Nextmind, start-up française, se rapproche de cette innovation technologique, vue dans l’épisode 2 de la saison 3. Épisode mettant en scène un homme qui est payé à tester un jeu vidéo en réalité virtuelle améliorée. Elle propose un appareil portable capable de détecter les activités cérébrales et donc de contrôler par la pensée, un ordinateur, un casque VR/AR ou n’importe quel autre dispositif.
Direction la Chine avec son système de crédit social qui se rapproche de l’épisode 1 de la saison 3 où l’on peut y voir une femme obsédée par sa notoriété sur les médias sociaux. L’épisode donne une image ultra futuriste de l’Instagram de demain. Depuis mars 2018, en Chine, le « crédit social », basé sur la collecte d’informations sur les réseaux sociaux par le biais des caméras de surveillances intelligences disposées un peu partout dans le pays, fait beaucoup parler de lui. Pour donner un exemple concret, un citoyen « mal noté » aura un accès aux transports restreint. Inversement, les citoyens « bien notés » se verront récompensés par un ensemble d’avantages.
Comme nous l’avons vu la réalité dépasse souvent la fiction (ici Black Mirror). Dans un monde, où l’intelligence artificielle est partout (grâce notamment au machine learning et au deep learning), il est difficile de prévoir ce que sera notre monde dans le futur. Même dans un futur proche, comme dans un an ou deux.
Tout d’abord Twitter est un réseau social qui permet de poster de brefs messages (tweets) visibles par les autres utilisateurs du réseau.
Ce sont Jack Dorsey, Evan Williams, Biz Stone et Noah Glass qui ont créé Twitter le 21 Mars 2006 à San Francisco.
Aujourd’hui, Twitter c’est plus de 313 millions d’abonnés et plus de 500 millions de tweets envoyés par jour.
De plus, Twitter est disponible en plus de 40 langues. Il est utilisé dans le monde entier.
Le mot tweet est entré dans le dictionnaire français « Le Petit Larousse » en 2013. En effet, un tweet est une publication publiée en temps réel qui peut contenir 280 caractères contre 140 précédemment. De ce fait, ce nombre limité de caractère ont poussé les utilisateurs à créer des « thread ». C’est-à-dire une succession de tweets les uns en dessous des autres qui racontent une histoire. Un tweet est le plus souvent composé d’un message et de hashtags (#).
Rapidement (car nous leur consacreront bientôt un article rien qu’à eux sur notre site…) :
Les hashtags, utilisés dans différents réseaux sociaux sont simplement « un mot » (ou expression) précédé du symbole #.
Ils permettent de trouver du contenu en rapport avec le mot choisi. Je suis passionnée de bento, un de mes amis Twitter poste un tweet avec #bento si je clique dessus, je vais pouvoir voir des tweets de personne que je ne suis pas forcément mais qui ont publié cet hashtag.
Les hashtags peuvent donc amener des personnes, qui n’ont pas de liens directs avec vous, à venir consulter vos publications et votre profil. C’est pourquoi les hashtags sont devenus un outil marketing essentiel utilisé par tous les community manager.
En effet aussi incroyable que celui puisse paraitre le créateur du logo Twitter Simon Oxley n’a touché que 6 dollars pour son œuvre. Il l’avait mis en vente sur le site istockphoto. Twitter l’a acheté 15 dollars et Simon Oxley charges déduites a donc gagné 6 dollars.
LinkedIn est un réseau social professionnel qui permet de développer son réseau d’affaires. Ce réseau a été créé en 2012 par Reid Hoffman et Allen Blue en Californie à Mountain View. LinkedIn regroupe plusieurs fonctionnalités, comme le CV en ligne et la messagerie, permettant d’établir un réseau professionnel qui peut mener à trouver du travail.
LinkedIn compte plus d’un demi milliard d’adhérents de différents pays. En effet, il peut toucher énormément de monde grâce aux 24 langues disponibles sur le site. De plus, on retrouve 170 secteurs d’activités. Ce réseau est désormais le nouveau CV digital incontournable de notre génération. Le digital est désormais un des premiers vecteurs de recrutement. Effectivement, 45 % des recruteurs recherchent des profils sur LinkedIn, il est donc nécessaire d’en posséder un.
Voici quelques astuces pour avoir un bon profil LinkedIn, afin de vous démarquer des autres postulants et de développer votre réseau :
Vous pouvez également sauvegarder des recherches qui vont vous permettre de les renouveler facilement et de recevoir des notifications. La fonction appelée « recommandations » permet aux utilisateurs de recommander les compétences de leurs contacts.
Viadeo est également un réseau professionnel en ligne qui a été créé en 2004. Ses fondateurs sont Dan Serfaty et Thierry Lunati. Ce qui diffère est que ce réseau n’a qu’un seul public : les français. En 2018, il revendique 7,5 millions de membres en France. Néanmoins moins connu que LinkedIn, Viadeo possède les mêmes fonctionnalités.
Avoir un compte LinkedIn ou Viadeo permet d’améliorer l’image de son identité numérique. Qu’attendez-vous pour créer le vôtre ? Vous pourrez alors y suivre notre agence.