Dans cet article, nous allons présenter le métier de chef de projet CRM. En quoi il consiste ? Quelles sont ses missions ? Quel est son salaire ? Vous trouverez ici les réponses à ces questions.
Le chef de projet CRM (gestion de la relation client) est donc responsable de la relation client. Il s’assure de comprendre le client via différentes actions, dans le but de le fidéliser. La satisfaction du client étant au cœur des préoccupations en webmarketing, son rôle se fait de plus en plus important.
Ses missions sont donc les suivantes :
Globalement, il gère tout ce qui touche à la clientèle. C’est-à-dire, il s’occupe de gérer les bases de données client, de la fidélisation, de l’analyse du comportement des clients… Il doit aussi optimiser les programmes et s’occupe du marketing.
Pour faire ce métier, il faut être quelqu’un d’organisé. En plus, le chef de projet CRM sera souvent à la tête d’une équipe. Il doit avoir une excellente connaissance du marketing, ainsi qu’en communication. Il sait également anticiper les besoins des clients et des annonceurs et utiliser les chiffres recueillis. Enfin, il doit constamment se renseigner sur la concurrence et être très rigoureux.
En début de carrière, il est possible de percevoir un salaire de 2900€/net par mois. Mais il est important de prendre en compte le fait que personne ne peut atteindre ce poste sans expérience. C’est pourquoi un début de carrière dans le métier ne constituera pas un début de carrière globale. En fin de carrière, il pourra toutefois toucher 4200€/net par mois.
Ce métier vous attire ? Une formation dans le marketing vous sera nécessaire. Vous pouvez également vous renseigner sur le métier de consultant SEO.
Cet article va vous présenter le métier de Community Manager (CM). Son profil, ses missions ou encore son salaire : nous vous disons tout.
Si le Community Manager travaille souvent en agence, il peut aussi travailler pour des annonceurs. C’est en effet lui qui s’occupe des réseaux sociaux de la marque pour laquelle il travaille. Il gère donc la communication avec les internautes et fait part à l’entreprise des réactions de sa communauté. Il est en quelque sorte l’ambassadeur de la marque en ligne.
Ses missions sont donc les suivantes :
En résumé, le Community Manager gère grandement la vie de communauté sur Internet. Il doit évidemment faire des retours à l’entreprise, qui adapte ensuite ses choix en conséquence.
Les compétences à avoir changent d’une mission à l’autre. Néanmoins, la maîtrise des réseaux sociaux est nécessaire. Il faut aussi avoir un excellent sens de la communication, une bonne culture web et des capacités de rédaction. Dans l’idéal, un bon CM dispose de notions de référencement ainsi qu’en design. Il doit aussi être une personne stratégique.
Selon les missions, il peut avoir besoin de compétences sur un domaine précis. Quoiqu’il en soit, il lui faut des compétences solides en webmarketing.
Et enfin, le CM est diplomate. Répondre aux internautes avec virulence pourrait en effet affecter l’image de la marque.
Un débutant touche environ 1500€/net par mois. Mais ce chiffre évolue avec l’expérience, surtout s’il travaille pour une marque réputée. Il peut même travailler pour une célébrité !
Ce métier vous attire ? Vous pouvez suivre une formation en communication pour devenir Community Manager.
Aujourd’hui la publicité digitale est très répandue, plus que la publicité à la télévision ou dans la rue. Vous avez déjà dû remarquer les bannières au coin de votre écran, lorsque vous êtes sur les réseaux sociaux par exemple. Souvent, elles correspondent à vos centres d’intérêt. Nous vous expliquons dans cet article d’où vient la publicité digitale et pourquoi elle est autant utilisée.
Elle date du 27 octobre 1994. Une bannière au format rectangulaire, avec un texte coloré sur fond noir, accrocheuse et intrigante. Elle avait pour but de mettre en avant l’opérateur téléphonique AT&T. Le prix d’affichage était le même que pour une publicité sur papier, soit 10000€ par mois. Ce fut un véritable succès car 44% des internautes concernés ont cliqué sur la bannière. L’initiative a rapporté plusieurs milliards de dollars à l’entreprise sur le long terme.
Bien longtemps, le format bannière s’est imposé. Depuis, d’autres formats ont été utilisés. Parmi eux, les pop-ups, tout de même déconseillés car ennuyeux pour l’utilisateur. Il y a également la publicité vidéo, que vous trouverez notamment avant de pouvoir visionner une vidéo sur YouTube. L’utilisation de plus en plus fréquente des réseaux sociaux sur mobile pousse les entreprises à réaliser des publicités attractives sur tout support.
Publicités cliquables, annonces publicitaires… Il y a énormément de moyens de faire de la publicité en ligne.
Et en 2017, son histoire connait un beau tournant : les investissements ont dépassé ceux pour la télévision !
Quand vous vous promenez sur le web, vous laissez des traces par le biais des cookies. Nous n’entrerons pas dans les détails à ce sujet, mais ce sont ces cookies qui permettent à une entreprise de savoir ce que vous faites sur son site. En recueillant et en étudiant ces données, elles peuvent adapter leurs publicités à vos attentes. En plus de cela, les réseaux sociaux s’assurent que les publicités qu’ils affichent sur votre écran vous correspondent au mieux. Le tout dans l’optique de rentabiliser leurs actions.
Elle se fait de plus en plus essentielle pour faire connaître une entreprise. En effet, la plupart des gens utilisent régulièrement Internet et les réseaux sociaux. Ils seront donc très susceptibles de tomber sur votre publicité en ligne. C’est pourquoi il ne faut pas laisser cela de côté !
Si vous désirez vous y mettre sans trop savoir comment faire, nous pouvons vous aider. Il suffit pour cela de nous contacter.
Cet article, a pour but de vous présenter le métier de consultant SEO. Qu’est-ce qu’un consultant SEO ? Quelles sont ses missions ? Quel est son salaire moyen ?
Posséder un site internet est déjà un très bon pas en avant dans sa communication. Toute entreprise (marchande ou non) se doit d’être présente sur internet afin d’exister.
Les moteurs de recherche, comme Google, référenceront rapidement votre site internet. Néanmoins, il y a de fortes chances que votre site soit classé dans des pages qui ne seront jamais consultées. Plus de 90% des utilisateurs s’arrêtent à la première page de résultats.
C’est ici qu’intervient le consultant SEO : il vous permet de monter rapidement dans les premiers résultats de Google. Cela vous facilite donc amplement la recherche de clients : ils viennent directement à vous.
Effectivement, le démarchage téléphonique, le porte-à-porte ou les prospectus sont des méthodes à proscrire. Les potentiels clients détestent être importunés, ils préfèrent faire une recherche par eux-mêmes, afin de gagner en confiance.
RTL et Bloctel, les conseils pour éviter les appels intempestifs
Le consultant SEO est à mi-chemin entre un expert en marketing et un expert en développement web. Il doit aussi avoir une petite fibre littéraire (ou tout du moins, ne pas faire de fautes en orthographe).
Google cherche à proposer du contenu de qualité dans ses premières pages de résultats, afin que l’utilisateur est une bonne expérience pendant sa navigation.
Voici que quelques exemples des 200 critères (minimum) que recherchent Google pour classer un site.
On estime qu’un expert en SEO connaît un maximum de 120 critères, les critères restants ne sont connus que par l’IA de Google. Cette dernière étant en constante évolution, le consultant SEO doit donc s’adapter et se remettre à niveau très régulièrement.
Le consultant SEO a donc pour mission d’optimiser votre site internet pour correspondre aux standards de Google. Ceci afin de proposer aux utilisateurs une bonne expérience sur internet. A l’opposé donc des démarchages intempestifs ou des sites internet illisibles.
Le consultant SEO est généralement en Freelance. En début de carrière, il peut ainsi gagner entre 1 600 et 2 100 euros par mois Cependant, un expert en SEO peut facilement gagner beaucoup plus.
Le métier de consultant SEO vous tente ? N’hésitez pas à consulter nos pages sur le référencement web pour en savoir plus (ou nous rejoindre 🙂 ).
Lorsque vous commencez pour la première fois une campagne de référencement, ou de webmarketing, vous vous retrouvez face à plusieurs acronymes : SEM, SEO, SEA, SMO… Il n’est pas simple de s’y retrouver dans ces différentes techniques proches mais cependant éloignées. Il y a un point commun dans ces techniques : SE, pour Search Engine ou Moteur de Recherche (Google, Bing, Qwant…) en français.
Le SEA est une technique pour amener des visiteurs sur votre site, via la publicité. Celles-ci peuvent être, par exemple :
Il existe ensuite différentes méthodes comme le CPC (Coût Par Clic, vous payez quand un visiteur arrive sur votre site) ou le CPM (Coût Pour Mille, vous payez tous les mille affichages de votre publicité). Puis chacune des méthodes fonctionne par un système d’enchère : plus vous payez par rapport à vos concurrents, plus votre site sera visible.
L’avantage du SEA est qu’il donne des résultats rapidement visible, mais si vous l’arrêtez, votre taux de visite va descendre en flèche.
Si le SEA peut se rapprocher du marketing traditionnel (cela ne reste que des publicités que l’on paie pour être visible), le SEO n’est dédié qu’à internet. Avec le SEO, nous recherchons à faire remonter votre site dans les premières pages des moteurs de recherche.
Comment cela fonctionne ? Difficile à dire sans être trop technique, mais c’est un ensemble de méthodes pour « plaire » à l’algorithme de google. En plus celui-ci évolue constamment… Il y aurait plus de 2000 critères ! On peut cependant en retenir quelques-uns:
Et oui, « spammer » un mot-clef sur une page (en blanc sur fond blanc…) ne fonctionne plus, bien au contraire, cela peut vous faire descendre !
L’avantage du SEO est qu’il est durable, une fois que vous êtes dans les premiers résultats, vous y restez. Cependant, cela peut prendre du temps en fonction de vos concurrents.
Encore trop souvent délaissé, le SMO est votre présence sur les réseaux sociaux. Attention, il ne suffit pas d’avoir une page Facebook et de la laisser à l’abandon : il faut aussi la rendre active, en postant régulièrement et en répondant aux messages. En moyenne, il est bon d’être présent sur deux réseaux sociaux avec une activité régulière.
Le SEM signifie, littéralement, le marketing sur les moteurs de recherche. Ce qui peut se simplifier par : le référencement. C’est donc le regroupement de toutes les autres techniques que nous venons de voir. Nous vous aidons à mettre en place vos campagnes de webmarketing, dans notre section dédiée.
Littéralement, le « Growth Hacking » signifie « piratage de croissance », cependant cela n’a rien à voir avec des techniques de malversation. Au contraire, il fait partie du marketing moderne en allant beaucoup plus loin. En rejetant la prospection agressive du marketing, il cherche à plaire aux clients avant de rechercher le bénéfice.
En 2010, son créateur, Sean Ellis, souhaitait mettre à profit ses compétences en informatique au service du marketing. Un bon « Growth Hacker » doit alors être compétent dans plusieurs domaines :
Le « Growth Hacking » est donc un ensemble de plusieurs techniques issues de différents univers, afin de mieux s’adapter à l’évolution d’internet.
Le « Growth Hacking » tourne autour d’un système de tunnel : la matrice AARRR. Celle-ci se décompose en 5 étapes :
Aucune de ces étapes ne doit être mise de côté, chacune est indispensable à la suivante.
Voici quelques exemples connus, vous pouvez vous en inspirer pour lancer une entreprise (ils ont tous commencé avec peu de budget) :
Ils ne vous restent plus qu’à vous lancer !