Le piratage Man-in-the-Middle (MITM) est une forme de piratage de sécurité informatique. Il vise à intercepter les communications entre deux parties. Il sert à voler des informations sensibles telles que des mots de passe, des informations bancaires et des données personnelles.
Le piratage « man-in-the-middle » (MitM) existe depuis l’apparition des premières communications réseau. Les premières formes de MitM ont été utilisées dans les années 1970 pour surveiller les communications militaires et diplomatiques. Mais avec le développement de l’Internet et de la technologie de l’information. Cette technique de piratage s’est étendue à tous les types de communications en ligne.
Le MITM est possible grâce à la mise en place d’un intermédiaire malveillant qui se place entre l’expéditeur et le destinataire d’un message. L’intermédiaire peut alors lire, modifier voire même bloquer les communications. Tout en faisant croire aux parties qu’elles communiquent directement entre elles. Alors que pas du tout ! Et avouons le, c’est effrayant ! Comment savoir que l’on se fait pirater alors qu’aucun indice n’est détectable au premier abord ?
Il existe plusieurs techniques utilisées pour réaliser un MitM. L’une des plus courantes est l’utilisation d’un réseau Wi-Fi public non sécurisé. Comme lorsque l’on mange dans un fast-food, il y a souvent un réseau gratuit et disponible à tous. Vous voyez de quoi il s’agit. À l’aide de ces réseaux, les pirates peuvent créer un point d’accès Wi-Fi malveillant qui ressemble à un réseau légitime. Et inciter les utilisateurs à se connecter à celui-ci. Une fois connecté, les pirates peuvent intercepter les communications et voler des informations sensibles. Alors, on ne sait pas vous, mais nous on ne se connecte plus au réseau gratuit !
Une autre technique courante est l’utilisation d’un logiciel malveillant sur l’ordinateur de la victime. Ce logiciel peut d’ailleurs s’installer via des techniques d’ingénierie sociale comme des courriels de phishing ou des téléchargements de logiciels malveillants. Une fois installé, le logiciel peut intercepter les communications en utilisant des techniques de « proxy » pour rediriger les données vers le pirate.
Il existe également des techniques plus avancées et complexes pour des amateurs. Par exemple il y a l’utilisation de certificats de sécurité falsifiés pour masquer l’interception des communications. Ces techniques ciblent souvent des entreprises ou des organisations, et servent pour espionner des activités commerciales ou gouvernementales.
Pour se protéger contre les attaques MITM, il est important d’utiliser des réseaux sécurisés lorsque cela est possible. Les réseaux Wi-Fi sécurisés utilisent des protocoles de sécurité tels que WPA2 pour chiffrer les communications. Ce qui rend difficile pour les pirates de les intercepter. Il est également important de ne pas se connecter à des réseaux Wi-Fi publics non sécurisés. Et de vérifier l’URL d’un site web pour vous assurer que vous vous connectez à une source légitime.
Il est également important de maintenir un bon niveau de sécurité sur votre ordinateur en utilisant un logiciel anti-virus. Et en étant vigilant lorsque vous ouvrez des courriels ou des téléchargements de logiciels.
Littéralement, le « Growth Hacking » signifie « piratage de croissance », cependant cela n’a rien à voir avec des techniques de malversation. Au contraire, il fait partie du marketing moderne en allant beaucoup plus loin. En rejetant la prospection agressive du marketing, il cherche à plaire aux clients avant de rechercher le bénéfice.
En 2010, son créateur, Sean Ellis, souhaitait mettre à profit ses compétences en informatique au service du marketing. Un bon « Growth Hacker » doit alors être compétent dans plusieurs domaines :
Le « Growth Hacking » est donc un ensemble de plusieurs techniques issues de différents univers, afin de mieux s’adapter à l’évolution d’internet.
Le « Growth Hacking » tourne autour d’un système de tunnel : la matrice AARRR. Celle-ci se décompose en 5 étapes :
Aucune de ces étapes ne doit être mise de côté, chacune est indispensable à la suivante.
Voici quelques exemples connus, vous pouvez vous en inspirer pour lancer une entreprise (ils ont tous commencé avec peu de budget) :
Ils ne vous restent plus qu’à vous lancer !