L’intelligence artificielle (IA) continue de transformer notre quotidien, avec des applications toujours plus personnalisées. Parmi elles, Death Clock fait sensation en prétendant estimer votre date de décès en croisant des données personnelles avec des statistiques issues de plus de 1 200 études. Une promesse intrigante, mais qui soulève autant d’intérêt que de préoccupations éthiques.
Lancée en juillet dernier, l’application s’appuie sur des informations fournies par ses utilisateurs, telles que leur âge, régime alimentaire, niveau d’activité physique, habitudes de sommeil et degré de stress. Ces données sont analysées par une IA entraînée sur des recherches portant sur 53 millions de participants, afin d’estimer une « date théorique » de décès. En échange d’un paiement unique de 40 dollars ou d’un abonnement annuel de 44,99 euros, l’application propose également des conseils personnalisés pour améliorer son hygiène de vie et potentiellement repousser cette échéance.
Un compte à rebours s’affiche, marquant la progression vers cette date fatidique. Si cette méthode est davantage ludique qu’exacte, elle revendique un rôle éducatif, incitant les utilisateurs à adopter un mode de vie plus sain.
Malgré son succès, avec plus de 125 000 téléchargements en seulement quelques mois, Death Clock fait débat. Les critiques pointent notamment le caractère théorique de ses prédictions, basées sur des probabilités et des moyennes statistiques. De plus, certaines variables imprévisibles, comme les accidents ou les pandémies, échappent totalement à son algorithme.
Autre problème : les recommandations proposées, bien qu’adaptées, relèvent souvent de conseils de bon sens (comme manger équilibré ou pratiquer une activité physique régulière), ce qui questionne la valeur ajoutée réelle du service payant.
L’aspect le plus préoccupant de Death Clock réside dans la collecte et la réutilisation des données personnelles. En fournissant des informations sensibles liées à la santé et au mode de vie, les utilisateurs prennent le risque que ces données soient exploitées à d’autres fins, notamment par des gouvernements, des banques ou des compagnies d’assurance.
Ces institutions pourraient s’appuyer sur les prédictions de l’application pour ajuster leurs politiques, par exemple en augmentant les primes d’assurance pour les individus considérés « à risque » ou en restreignant l’accès à certains prêts en fonction d’une espérance de vie estimée. Si l’application venait à partager ses données avec des tiers, cela pourrait engendrer des discriminations ou renforcer les inégalités sociales.
Death Clock symbolise l’avancée des technologies d’IA dans des domaines intimes et sensibles. Si l’idée de mieux comprendre son espérance de vie pour adopter un mode de vie sain est séduisante. Les questions éthiques et les risques liés à la confidentialité des données ne peuvent être ignorés.
Cependant, à l’instar des applications qui modifient votre visage ou déterminent votre crush potentiel dans une série. Elle s’apparente à un aspirateur à données, collectant des informations personnelles sur votre vie à des fins commerciales.
Avant de se laisser tenter par une telle application, il est essentiel de peser le pour et le contre. Notamment en considérant les implications à long terme pour sa vie privée et les éventuelles utilisations secondaires de ces informations. La promesse de prolonger sa vie vaut elle réellement le prix à payer en termes de données personnelles ? Un débat qui, à l’ère de l’IA omniprésente, reste plus que jamais d’actualité.
Dans le monde effervescent de la communication, où chaque clic compte et chaque like compte double, l’hyperconnexion est plus qu’une simple tendance, c’est un mode de vie. Imaginez un univers où les smartphones sont greffés aux mains et où les notifications sonnent comme une mélodie ininterrompue.
Bienvenue dans le quotidien des communicants connectés, où la frontière entre la réalité et le digital est aussi floue qu’un filtre Instagram.
Pour les passionnés de la communication, chaque journée est une aventure numérique. Du matin jusqu’au soir, nous jonglons avec les e-mails, les messages, et les réseaux sociaux (et souvent en boucle). Pas le temps de souffler, car la toile ne dort jamais, et une tendance virale peut surgir à tout moment, exigeant une réaction instantanée. Alors, pour éviter de louper l’info de la semaine on jongle sans cesse entre Linkedin, puis Instagram, puis Facebook, puis X, puis sur les articles, enfin sur les emails… et rebelotte.
Certes, l’hyperconnexion a ses avantages. Elle nous permet d’être toujours à l’affût des dernières tendances, de rester en contact avec nos clients et de créer du contenu à la vitesse de la lumière. Mais attention aux pièges ! Une minute de distraction peut se transformer en une heure perdue sur les réseaux sociaux, et les deadlines peuvent devenir aussi stressantes qu’une course contre la montre dans un jeu vidéo. Puis surtout, où est la limite ? Quand arrêtons nous vraiment d’être stimulé ?
Seuls 16% des individus déclarent avoir une connaissance approfondie des effets de l’hyperconnexion sur la santé mentale et physique. Pourtant, l’hyperconnexion engendre une panoplie de troubles, parmi lesquels le syndrome de débordement cognitif se démarque, caractérisé par une saturation cognitive, sensorielle, communicationnelle et informationnelle. Pour faire face à l’hyperconnexion, les communicants peuvent adopter plusieurs stratégies simples mais efficaces. Ils devraient établir des limites claires quant à l’utilisation des technologies, prioriser les tâches importantes, apprendre à réduire leur stress, prendre régulièrement des pauses pour se déconnecter, établir des règles de communication et favoriser le travail collaboratif. En mettant en place ces mesures, ils peuvent naviguer avec succès dans un monde numérique sans compromettre leur santé mentale et leur bien-être.
Dans cet univers hyperconnecté, trouver un équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle est le « Saint-Graal ». Alors, que vous soyez un as des réseaux sociaux, un maître de la rédaction ou un génie de la créativité, n’oubliez pas de prendre du recul, de déconnecter et de savourer les moments hors ligne. Après tout, la vraie vie ne se mesure pas en pixels, mais en émotions et en souvenirs.
Sean Parker est bien plus qu’un milliardaire du web. Il est le visionnaire qui a non seulement marqué l’industrie de la musique. Mais a également joué un rôle essentiel dans la création et la transformation de Facebook. Un réseau qui a littéralement changé la manière dont le monde interagit en ligne. Tout d’abord, penchons-nous sur le parcours de ce génie de la technologie qui a laissé une empreinte indélébile sur deux des domaines les plus influents de notre siècle.
Tout d’abord, Sean Parker est né le 3 décembre 1979. Sa passion pour la technologie et son esprit visionnaire l’ont conduit à Silicon Valley. Où il a commencé à forger son destin. À seulement 19 ans, Parker a cofondé Napster en 1999. Une plateforme révolutionnaire de partage de fichiers peer-to-peer qui a permis aux utilisateurs d’échanger de la musique en ligne gratuitement. A une époque où le seul moyen de consommer de la musique est à la radio ou en achetant un album physique en magasin.
Bien entendu, les maisons de disques ne se sont pas laissés faire (en laissant penser à une crise économique pour le monde de la musique). Attaquant Napster en justice et forçant ainsi Sean Parker à fermer son accès en 2001.
Cependant, l’avènement de Napster a été une révolution dans l’industrie de la musique. Cette plateforme a rapidement conquis des millions d’utilisateurs, bouleversant les modèles économiques traditionnels et forçant l’industrie musicale à se réinventer. Son impact sur la manière dont nous consommons la musique persiste encore aujourd’hui.
Après Napster, Sean Parker ne s’est pas reposé sur ses lauriers. Il a continué à exercer une influence considérable dans le monde de la technologie. En 2004, Parker a rencontré Mark Zuckerberg et est devenu le premier président de Facebook. Sa contribution à la croissance de ce réseau social ne peut être sous-estimée.
Ainsi, son expertise stratégique et sa vision claire ont aidé Facebook à se développer de manière exponentielle. Il a également joué un rôle clé dans l’expansion de la plateforme au-delà des campus universitaires, la transformant en un réseau social mondial.
Sean Parker est devenu un milliardaire du web grâce à ses investissements dans diverses startups à succès, dont Spotify. Sa fortune est le reflet de sa vision audacieuse et de sa capacité à anticiper les tendances technologiques.
Finalement, nous pouvons dire que Sean Parker, le génie derrière Napster et l’un des architectes de Facebook, est une figure emblématique de la révolution numérique. Son parcours illustre parfaitement comment un esprit visionnaire peut transformer la manière dont nous consommons la musique et interagissons en ligne. Son influence persiste dans les médias sociaux et l’industrie de la technologie, rappelant à tous que les idées audacieuses (même à la limite de la légalité) peuvent changer le monde.
L’année dernière, Squeezie a entrepris un défi audacieux : organiser une véritable course automobile sur le légendaire circuit du Mans, baptisée le GP Explorer. Durant une journée entière, des créateurs de contenu sont devenus des acteurs de sport automobile. Offrant un spectacle comparable à la Formule 1 et avec une réalisation innovante, fusionnant télévision et expérience sur circuit. Diffusé en direct sur Twitch, l’événement a connu un succès phénoménal. Attirant plus d’un million de spectateurs simultanés, établissant un record pour un compte français à l’époque.
Après ce succès, Squeezie a rapidement laissé entendre l’organisation d’une autre édition du GP Explorer. Le youtubeur a annoncé un événement important le 3 mai à 20 heures. La date de la deuxième édition du GP Explorer est désormais confirmée pour le 9 septembre 2023. Toujours au Mans, sur le circuit Bugatti.
Aussi, la billetterie a ouvert ses portes le 24 mai et toutes les places ont été rapidement vendues. S’écoulant en moins de 30 minutes. On peut dire que c’était prévisible compte tenu de l’engouement suscité par l’événement.
Tout d’abord, Squeezie et son équipe se sont engagés à optimiser l’événement et à offrir une expérience authentique à leur communauté. En effet, plusieurs changements majeurs sont prévus cette année. En termes de capacité, le nombre de places disponibles est passé de 40 000 l’année précédente à 60 000 cette année. Le prix d’entrée est de 48 € et donne accès à l’entrée, une place dans les tribunes libres… Ainsi que l’accès au village avec des animations gratuites et une mini fête foraine, des spectacles surprises, la possibilité de monter sur la piste lors de la remise des prix et un concert avec plusieurs artistes.
Des zones de camping accueilleront également les abonnés désireux de venir la veille.
De plus, l’équipe de Squeezie prévoit un village beaucoup plus grand. Avec davantage de stands pour se restaurer et se désaltérer. Squeezie encourage les jeunes à utiliser le train lors de ses sessions d’information sur le GP 2. Bien que Le Mans soit bien desservi en termes de transports ferroviaires et de navettes.
L’année dernière, il y avait 11 équipes participantes, mais cette année, Squeezie en propose 12, ce qui porte le total à 24 participants. Les participants sont répartis entre 12 anciens et 12 nouveaux. Parmi les nouveaux participants, on retrouve notamment :
La participation des nouvelles équipes et des personnalités variées ajoute une nouvelle dimension à l’événement, renforçant l’excitation et la diversité des participants. L’annonce de la date de la deuxième édition du GP Explorer, ainsi que les améliorations apportées, ont suscité un engouement énorme. Comme en témoigne la vente rapide des billets.
En matière de communication, le GP Explorer est de retour avec un tout nouveau site en ligne. Le branding du GP Explorer est soigné et évoque l’ambiance d’un grand festival. Bien que le succès puisse sembler principalement attribuable à Squeezie et à ses 18 millions d’abonnés. En fait, il résulte d’un travail acharné en coulisses.
En effet, l’affiche est digne d’une superproduction cinématographique. Mettant en avant tous les participants en trois quarts de visage, avec une pyramide en toile de fond évoquant le défi à relever. Ce choix rappelle les affiches de films comme Les Gardiens de la Galaxie ou Venom. En bas de l’affiche, l’effet de vitesse est représenté avec la piste. L’affiche promet un spectacle véritablement captivant.
Squeezie a annoncé le retour de l’événement tant attendu lors d’un live sur Twitch début mai, révélant les sponsors, les équipes et les voitures. Squeezie et son équipe ont donc soigneusement préparé ce livestream, incluant animations, vidéos et explications avec une présentation.
La typographie choisie est épaisse, condensée, frappante et marquante. Ils respectent les codes de l’univers de la Formule 1, mettant en avant des numéros de course en gras et présentant les voitures avec soin. L’atmosphère de la révélation des voitures est sombre pour mettre en avant les couleurs vives. La charte graphique combine le plaisir tout en conservant un aspect professionnel et crédible.
En effet, la stratégie de communication réfléchie, mettant en valeur l’identité du GP Explorer à travers un site web sophistiqué, une affiche cinématographique et des annonces soigneusement orchestrées, témoigne de l’attention méticuleuse accordée à chaque détail. Le succès précédent n’est pas seulement le résultat de la notoriété de Squeezie, mais aussi du travail acharné et de la créativité de l’équipe organisatrice
Parmi les sponsors figurent : Deezer, TCL, Overwatch, World of Tanks, Alpine, Radio Le Mouv’, Crunchyroll, Cupra, Subway, Schott, « La Pizza de la Mama » de Mister V, Boss, NordVPN, Del’Arte, Rhinoshield et Samsung.
En conclusion, le GP Explorer s’apprête à revenir avec une deuxième édition pleine de changements passionnants. Squeezie et son équipe ont démontré leur engagement envers l’amélioration de l’événement, offrant une expérience encore plus enrichissante à leur communauté. Avec une augmentation significative du nombre de places, de nouveaux participants et des améliorations dans l’organisation logistique, l’événement promet d’être encore plus grandiose et captivant qu’auparavant.
En somme, le GP Explorer est sur le point de transformer une fois de plus le circuit du Mans en un terrain de jeu captivant où le monde du contenu en ligne rencontre celui du sport automobile. Avec des changements significatifs, une communication créative et une équipe dévouée, l’événement promet une expérience inoubliable pour les participants et les spectateurs, établissant ainsi une nouvelle référence pour les événements de ce genre.
Rendez-vous le 9 septembre 2023 !
Kick est une plateforme de streaming qui a ouvert le 2 décembre 2022. Elle permet de diffuser en direct du contenu (jeux vidéo, cuisine, sport, …) ou de regarder des streamers (personnes qui diffusent en direct sur la plateforme).
Actuellement, Twitch, dont le propriétaire est Amazon, est la plateforme qui domine le milieu du streaming. Kick appartient à Stake qui est le Casino en ligne le plus populaire au monde. Dans cet article nous vous présentons les avantages et les inconvénients de cette nouvelle plateforme.
Kick est apparu 3 mois après l’interdiction de diffusion de contenu des jeux de casino en ligne sur Twitch. Kick a pour objectif de concurrencer Twitch en faisant des promotions très agressives de sa plateforme. Les 3 points importants sont : la répartition des revenus, la liberté de diffusion et donc la diversité des contenus. L’objectif pour Kick n’est pas de devenir rentable, mais d’offrir de la visibilité à son casino en ligne.
L’avantage de la plateforme par rapport à Twitch c’est que les streamers gagnent 95% des gains. Elle gagne donc 5% des gains générés par le streamer. Twitch avait commencé à proposer des contrats à 70%. Maintenant, les contrats sont passés à 50% chacun. Le problème de Twitch est que la plateforme a des difficultés à être rentable. De plus, les petits streamers ont de plus en plus de difficulté à gagner décemment sur Twitch. Kick est donc plus profitable aux petits streamers qui gagneront presque deux fois plus que sur la plate forme dominante.
Le second avantage est que les streamers sont plus libres de diffuser ce qu’ils veulent. Kick est beaucoup moins « sévère » que Twitch. Plusieurs gros streamers ont déjà fait le pas naturellement ou via un contrat avec la plateforme. Par exemple, le streamer “Ninja” a fait la transition car il dit être agacé par les restrictions de Twitch. Elle attire les streamers et le public avec une forte promotion et valorisation de sa plateforme. Par exemple, la plateforme a proposé un contrat de plusieurs millions de dollars au streamer américain Adin Ross. Du côté français, le premier gros streamer qui a fait le pas d’aller chez Kick est Chowh1. Il cumule près de 700 000 followers sur Twitch. Ses raisons principales sont le fait qu’il gagne beaucoup plus d’argent sur Kick et qu’il a une équipe à payer.
Kick a néanmoins de nombreux défauts comme le fait qu’elle est reliée au plus grand Casino en ligne du monde. Elle est moins réglementée que Twitch et beaucoup plus récente. Kick n’a que quelques mois et même si elle gagne de plus en plus de viewers (plus de 100 000 viewers quotidien actuellement), elle est encore très loin de Twitch (plus de 3 millions de viewers quotidien). Twitch est une plateforme qui existe depuis 2011. Elle est donc plus sûre tandis que sur Kick, rien ne dit que la plateforme tiendra bien longtemps. Nous avons déjà eu l’expérience de Mixer qui devait concurrencer Twitch mais qui a rapidement fait faillite.
L’autre problème majeur de Kick? La plateforme laisse beaucoup (voir trop !) de libertés aux streamers. On peut parfois trouver du contenu violent ou même pornographique. Ces cas peuvent être punis d’un bannissement de seulement 2 jours. Sur Twitch, un tel contenu conduit à un bannissement définitif de la plateforme. La principale catégorie présente sur Kick est le casino en ligne. C’est un problème car les jeux d’argent sont dangereux, notamment à cause de l’addiction.
Pour conclure, Twitch a actuellement le monopole du streaming et l’arrivée de Kick peut mettre en concurrence les deux plateformes. Kick est encore jeune et essaie d’attirer le plus de monde possible en promettant des revenus imbattables actuellement. Le problème est que Kick n’est pas aussi vigilant et restrictif que Twitch. Cependant, Twitch ne ferme pas les yeux sur cette nouvelle plateforme de streaming. Elle a récemment rétabli son ancien modèle de contrat visant à verser 70% des gains aux streamers.
Pour commencer, vous n’êtes pas sans savoir que les réseaux sociaux ont radicalement changé la façon dont les entreprises interagissent avec leurs clients. Car ils offrent la possibilité de communiquer directement avec votre audience et aussi de promouvoir votre entreprise. C’est pourquoi il est important d’utiliser les réseaux sociaux pour promouvoir votre entreprise.
Dans cet article, nous allons vous expliquer comment utiliser les réseaux sociaux pour promouvoir votre entreprise et toucher une audience plus large.
Pour commencer, il est important de choisir les bons réseaux sociaux pour votre entreprise, ceux qui vous seront utiles. Il n’est pas nécessaire de s’inscrire sur tous les réseaux sociaux disponibles. Identifiez plutôt les réseaux sociaux que votre audience utilise le plus souvent et concentrez-vous sur eux, en créant du contenu qui plait et qui vous ressemble.
De plus, votre profil doit être cohérent sur tous les réseaux sociaux que vous utilisez. Assurez-vous que votre nom d’utilisateur, votre photo de profil et votre description sont les mêmes sur toutes les plateformes. Sans oublier votre charte graphique. Votre profil doit également être attrayant pour attirer l’attention de votre audience. Utilisez des images de qualité et une description claire pour présenter votre entreprise. N’oubliez pas d’y mettre les liens qui rédigeront vos clients vers votre site web ou vos autres réseaux sociaux.
Aussi, pensez à publier régulièrement du contenu sur vos réseaux sociaux pour maintenir l’intérêt de votre audience. La fréquence de publication dépend de la plateforme et de votre audience, mais en général : publiez au moins une fois par semaine pour rester visible.
Bien entendu, il est tout à fait normal de ne pas savoir comment promouvoir son business avec les réseaux sociaux ou tout simplement ne pas avoir le temps. C’est pourquoi faire appel à une agence web peut vous servir et être bénéfique pour vous et pour vos résultats.
Les agences web spécialisées dans la gestion des réseaux sociaux disposent d’une expertise et d’une expérience dans le domaine. Ils ont une connaissance approfondie des différentes plateformes sociales et de leur fonctionnement. Ils sont également capables d’élaborer des stratégies de marketing efficaces pour atteindre vos objectifs commerciaux.
Gérer efficacement les réseaux sociaux nécessitent beaucoup de temps et d’efforts. En confiant cette tâche à une agence web, vous pouvez vous concentrer sur d’autres aspects de votre entreprise. L’agence se chargera de créer, planifier et publier du contenu sur vos plateformes sociales.
Les réseaux sociaux évoluent rapidement et de nouvelles fonctionnalités sont régulièrement introduites. En travaillant avec une agence web, vous pouvez être sûr que vous êtes toujours à jour avec les dernières tendances et les meilleures pratiques.
Engager une agence web peut sembler coûteux, mais cela peut surtout vous faire économiser de l’argent à long terme. En outre, externaliser cette tâche peut également réduire les coûts liés à l’embauche d’un employé en interne pour gérer vos réseaux sociaux.
En fin de compte, engager une agence web pour gérer vos réseaux sociaux peut offrir de nombreux avantages pour votre entreprise. Il est important de choisir une agence avec une solide réputation et une expérience avérée dans le domaine. En suivant ces conseils, vous pouvez utiliser les réseaux sociaux pour renforcer la présence de votre entreprise en ligne et atteindre vos objectifs de marketing.
Tout d’abord, les réseaux sociaux sont des plateformes en ligne qui nous permettent de partager du contenu. Ils sont devenus extrêmement populaires ces dernières années et sont utilisés par des millions de personnes dans le monde entier. Il faut cependant se protéger sur les réseaux sociaux.
Ils peuvent être un moyen amusant et utile de rester en contact avec vos amis et votre famille. Cependant, ils peuvent également être un endroit dangereux si vous n’êtes pas vigilant.
Premièrement, il y a plusieurs raisons pour lesquelles il est important de se protéger sur les réseaux sociaux :
Les informations personnelles :
Lorsque vous utilisez les réseaux sociaux, vous partagez souvent des informations personnelles. Comme votre nom, votre date de naissance et vos photos. Cependant, si vous n’avez pas configuré vos paramètres de la bonne façon, ces informations peuvent être vues par n’importe qui. Protéger vos informations personnelles vous aidera à éviter que des personnes malveillantes ne puissent les utiliser à des fins frauduleuses.
La sécurité de votre ordinateur :
Aussi, en cliquant sur des liens ou en téléchargeant des fichiers de sources suspectes. Vous pouvez exposer votre ordinateur à des virus qui peuvent voler vos informations personnelles. Protéger votre ordinateur en utilisant un logiciel de sécurité et en étant prudent face aux messages que vous recevez de personnes que vous ne connaissez pas vous évitera ces problèmes.
La vie privée :
Ils peuvent être un moyen amusant et utile de rester en contact avec vos proches. Mais ils sont aussi un moyen de diffuser des informations à un grand nombre de personnes. Vos amis peuvent partager vos informations ou vos photos avec d’autres personnes, ce qui peut compromettre votre vie privée. Donc, configurer vos paramètres de confidentialité vous aidera à contrôler qui peut accéder à vos informations ou non. Et vous évitera de partager des choses avec des personnes que vous ne connaissez pas.
Deuxièmement, voici quelques conseils pour vous protéger sur les réseaux sociaux fournis gentiment par l’Agence Lapostolle :
Utilisez des mots de passe forts et uniques pour chaque compte de réseau social que vous avez. Évitez d’utiliser des informations personnelles comme votre date de naissance dans vos mots de passes. Donc, essayez plutôt des combinaisons de lettres, de chiffres et de symboles.
Configurez vos paramètres de confidentialité de manière à ce que seuls les amis ou les personnes de votre choix puissent voir vos informations personnelles. Cela vous permettra de contrôler qui peut accéder à vos informations et vous évitera de partager des choses avec des personnes que vous ne connaissez pas.
Faites attention à ce que vous publiez en ligne. Réfléchissez à deux fois avant de partager des informations personnelles ou des photos que vous ne souhaiteriez pas voir diffusées sur le Web. Gardez à l’esprit que ce que vous publiez en ligne peut être vu par un grand nombre de personnes et peut rester en ligne pour toujours.
Soyez vigilant face aux messages et aux demandes d’amis que vous recevez de personnes que vous ne connaissez pas. Ne cliquez pas sur des liens ou téléchargez des fichiers de sources suspectes. Ces actions peuvent vous exposer à des logiciels espions ou à des virus qui peuvent endommager votre ordinateur ou voler vos informations personnelles.
Utilisez un logiciel de sécurité pour protéger votre ordinateur contre les logiciels espions et les virus. Un bon logiciel de sécurité vous aidera à protéger votre ordinateur et vos informations personnelles contre les menaces en ligne.
De plus, déconnectez-vous de votre compte de réseau social lorsque vous utilisez un ordinateur public ou partagé. Cela vous évitera de laisser votre compte ouvert et accessible à d’autres personnes qui pourraient être tentées de se faire passer pour vous.
Enfin, en suivant ces conseils, vous devriez être en mesure de vous protéger efficacement sur les réseaux sociaux et de profiter en toute sécurité de ces plateformes.
Pour conclure, il est important de se rappeler que les réseaux sociaux ne sont qu’un outil et qu’il est important de les utiliser de manière responsable. Protégez votre vie privée en configurant vos paramètres de confidentialité et en étant vigilant face aux messages et aux demandes d’amis que vous recevez de personnes que vous ne connaissez pas.
Le harcèlement sexuel en ligne et le cybersexisme sont des violences numériques à connaître.
Le devoir d’un parent est de connaitre les risques qu’entrainent les réseaux sociaux. Ce qui est le cas du harcèlement qui peut suivre votre enfant jusque chez lui, depuis son téléphone.
Le harcèlement ne se limite plus à la cour de récréation, il est dorénavant partout et devient un véritable fléau.
Aujourd’hui, nous voulons vous parler du cybersexisme.
L’enquête de l’éducation nationale de 2014 montre que 21% des filles contre 15% de garçons sont victimes de cyberviolences et dans « 37% des cas, ce sont des actes à caractère sexistes commis par les garçons envers les filles ». Souligne Clémence Pajot, directrice du centre Hubertine Auclert.
Le terme « cybersexisme » désigne les comportements sexistes sur les outils numériques. Qui comportent généralement des stéréotypes, injonctions concernant la sexualité, la façon de s’habiller, l’apparence physique ou le comportement. Avec le sexisme s’instaure alors une hiérarchie entre les sexes et perpétue un système de domination des hommes sur les femmes.
Le cybersexisme, c’est :
Ces cyberviolences ont des spécificités à connaître vis-à-vis des violences « ordinaires » :
– Les outils numériques qui permettent de diffuser un contenu à une vaste audience en seulement quelques secondes.
– Le sentiment d’impunité de l’agresseur qui est renforcé par la distance que les outils numériques permettent d’établir avec la victime.
Netflix nous présente le documentaire « L’Homme le plus détesté d’Internet. » Son nom est Hunter Moore, il est le créateur du site (abominable) IsAnyoneUp.
D’ailleurs, il se nomme lui-même le roi du Revenge porn.
Il a humilié publiquement un nombre incalculable de personnes pour le plaisir. Il aurait piraté des comptes pour ensuite divulguer les photos de ses victimes sans leurs consentement. Et le moins qu’on puisse dire, c’est que c’est une sacrée %$!%.
La série documentaire permet ainsi de mieux comprendre le phénomène de pornodivulgation qui connaît un nouvel essor depuis 2020.
Cette forme de cyberviolence a des conséquences graves sur la victime qui perd confiance en elle, et développe un sentiment d’insécurité.
Le cybersexisme ne se traduit cependant pas de la même façon chez les filles et les garçons.
Notamment parce que les filles sont plus nombreuses à être victimes de ces cyberviolences. On observe souvent deux phénomènes :
Avant tout, vous pouvez renforcer la sécurité de navigation.
Le contrôle parental : mis gratuitement à disposition par tous les fournisseurs d’accès à internet (et navigateurs), il permet aussi de limiter le temps passé sur internet ou de bloquer l’accès à certains contenus.
De plus, il y a des logiciels pour protéger les mots de passe et éviter l’usurpation d’identité. Ils permettent de générer des mots de passe dits « forts » et donc difficiles à pirater.
La configuration des paramètres de confidentialité des réseaux permet ainsi de partager uniquement le contenu que l’utilisateur désire partage.
Familiariser votre enfant aux usages numériques responsables, comme la liberté d’expression et ses limites, les dangers de l’effet de groupe sur les réseaux sociaux.
Mais aussi, apprendre à votre enfant que les propos tenus sur Internet ont des conséquences réelles sur le plan pénal en plus de porter préjudice à la victime.
Installer le contrôle parental sur les appareils numériques de votre enfant, et contrôler régulièrement ses comptes sur les réseaux sociaux et les messageries.
Si vous avez été victime ou si vous voulez aider quelqu’un qui l’a été. Rendez-vous sur le site #StopCyberSexisme ou contactez les numéros verts 3018 ou le 3020 (« Non au harcèlement » et « cyberviolences »).
Facebook occupe une grande place sur internet, et Mark Zuckerberg le fait maintenant entrer dans une nouvelle ère : le métaverse.
Tout d’abord, qui aurait pu prévoir qu’une expérience sociale universitaire en 2004 aurait créé le réseau social comptant près de 3 milliards d’utilisateurs ?
Certainement pas Mark Zuckerberg.
Depuis, Facebook est le réseau social connu de tous. L’histoire de la fondation de ce géant a été racontée dans le film « The Social Network » réalisé par David Fincher.
Cette nouvelle ère s’appelle Meta : mais alors ça veut dire quoi ?
Vous l’aurez compris, Facebook voit plus grand et souhaite que tout le monde le sache. Le fondateur n’ayant plus qu’une lubie : réinventer Internet avec le métaverse.
Si vous êtes amateur de film, notamment de « Ready Player One » de Steven Spielberg, vous savez de quoi il est question : les métaverses sont l’équivalent de l’OASIS du film.
Pour ceux qui n’auraient pas vu ce fameux film, imaginez les métaverses comme une doublure du monde physique accessible par internet et des interfaces dans lesquelles on devrait exister en tant qu’avatar. Facebook l’imagine comme un « internet incarné », votre avatar pourrait par exemple aller à la boulangerie ou alors danser en boite de nuit, le but étant d’avoir une vie sociale numérique bien remplie.
En effet, les géants du web et du jeu vidéo voient le métaverse comme l’un des plus gros progrès technologiques dans l’évolution d’Internet.
Alors, Facebook invente son propre monde virtuel avec ses règles et paramètres bien à lui.
Aujourd’hui il est possible de vivre des expériences liées au métaverses bien que celles-ci soient encore limitées. Comme conduire un bolide ou encore un vaisseau spatial. Soyons fous, tout sera possible désormais.
C’est pourquoi, Facebook et la célèbre marque Ray-Ban ont travaillé ensemble pour lancer une paire de lunettes connectées, qui permet de prendre des photos ou vidéos pour ensuite se connecter à un réseau social.
D’autres marques s’y intéressent notamment : Nike, Gucci, Zara, Adidas, Burberry et bien d’autres encore…
Facebook espère ainsi se familiariser avec ce nouveau monde numérique afin que de nouveaux consommateurs s’intéressent à ce genre d’accessoires.
Alors, ce monde virtuel peut vous paraître effrayant et nous sommes justement là pour vous guider.
Si vous voulez en savoir plus sur le métier de développeur mobile, cet article est fait pour vous. Nous allons vous expliquer en quoi consiste le métier, quelles peuvent en être les missions, ainsi que le salaire.
Le développeur mobile est celui qui développe des applications pour téléphone, tablette et autres appareils mobiles. Il doit donc porter une grande attention à l’affichage de ces applications sur ces appareils. Il peut aussi se spécialiser dans le développement pour Android ou pour iOS par exemple. Les appareils mobiles étant de plus en plus utilisés, ce métier se fait une place d’autant plus importante.
Ses missions sont les suivantes :
De ce fait, il peut adapter un site Internet classique pour une version mobile. Il peut également créer une application mobile qui n’a pas de site web existant. Il pourra finalement développer des jeux vidéos (ou adapter les versions déjà existantes) pour mobile.
Il doit premièrement avoir une parfaite connaissance des normes en vigueurs et des interdits propres au mobile. Il a une bonne connaissance du front-end, est rigoureux et créatif et dispose d’une grande flexibilité.
Pour ce qui est des compétences techniques, le développeur mobile maîtrise plusieurs langages de programmation. Ils diffèrent selon s’il se spécialise en iOS ou en Android. Par exemple :
Ce ne sont toutefois pas les seuls systèmes existants. Généralement, pour les systèmes peu répandus, des API permettant de simplifier la programmation existent. Mais au cas où, le développeur web doit être capable de programmer dans le plus de langages possible.
Le salaire d’un développeur mobile débutant tourne autour de 2200€/net par mois. Il peut facilement être doublé en fin de carrière. Néanmoins, il n’évoluera sans doute pas progressivement. Tout dépend des missions qu’il réalisera au cours de sa carrière et de sa situation. En effet, un salaire peut changer drastiquement entre celui d’un développeur en freelance et celui d’un développeur qui travaille en agence ou en entreprise. La taille et la réputation de l’entreprise jouent aussi sur ce chiffre.
Ce métier vous intéresse ? Une formation en informatique vous sera nécessaire. En attendant, puisqu’il vous faudra maîtriser de nombreux langages, vous pouvez déjà vous renseigner sur ceux-ci.