Si vous voulez en savoir plus sur le métier d’intégrateur web, nous vous invitons à poursuivre votre lecture. Nous allons vous expliquer en quoi consiste le métier, quelles peuvent en être les missions, ainsi que le salaire.
L’intégrateur web assemble les différents éléments d’un site web de façon optimale. Il monte les pages en réunissant tout ce que souhaite le chef de projet. Le texte, les images ou même les liens hypertextes sont intégrés à cette occasion. En bref, son travail se situe à mi-chemin entre le webdesign et le développement web.
Ses missions sont donc les suivantes :
Comme nous l’avons déjà mentionné, il se situe entre le développeur et le designer. Une partie de son travail sera donc de veiller à ce que le site soit compatible avec tout support. Il manipulera aussi le code pour y intégrer les éléments nécessaires. Mais il ne devra pas laisser de côté l’aspect visuel du rendu final !
Comme vous l’aurez compris, ce métier requiert une certaine polyvalence. Et ce, aussi bien dans la connaissance des conventions en terme de design qu’en langages de programmation. Pour commencer sur les aspects les moins techniques, l’intégrateur web est autonome, organisé, rigoureux et par-dessus tout créatif.
Et pour le reste, une connaissance en langages de programmation tels que HTML, CSS, PHP ou JavaScript est la bienvenue.
Le salaire d’un débutant tourne autour de 1700€/net par mois. Cependant, les intégrateurs web sont généralement recrutés davantage par rapport à leurs réalisations antérieures et leur expérience que par rapport à leurs diplômes. C’est pourquoi le salaire évolue beaucoup d’un intégrateur web à l’autre. Les plus compétents pourront travailler au sein d’agences ou d’ESN. Mais il est fréquent de trouver d’excellents intégrateurs web en freelance !
Ce métier vous intéresse ? Nous vous conseillons de lire notre article sur les langages clés du monde du web. Vous pouvez aussi envisager une formation supérieure en informatique (DUT, BTS, licence…).
Dans cet article, nous allons détailler le métier de développeur back-end. En quoi il consiste ? Quelles sont ses missions ? Quel est son salaire ? Vous trouverez ici les réponses à ces questions.
Si vous ne connaissez pas ce terme, vous connaissez peut-être celui de développeur web. En fait, le développeur web se divise en deux branches : front-end et back-end. Le développeur back-end est celui qui va travailler sur le fonctionnement interne du site. Il manipule donc les bases de données et le code du site. C’est finalement celui qui veille à ce que tout soit fonctionnel.
Ses missions sont donc les suivantes :
Ainsi, comme déjà mentionné, il veille au bon fonctionnement d’un site ou d’une application web. Son rôle est donc très important. Sans lui, tout ce que vous ne voyez pas en naviguant sur un site mais qui est pourtant indispensable ne serait pas là.
Le développeur back-end dispose d’une grande rigueur. En effet, il doit s’assurer que toutes les fonctionnalités prévues soient bien implémentées. Il doit aussi corriger toutes les erreurs qui peuvent interférer dans le fonctionnement de l’application. Il est également touche à tout en terme de langages de programmation.
En effet, ses compétences sont surtout techniques. Il doit maîtriser bon nombre de langages de programmation. Par exemple, PHP, Ruby, Python et SQL sont des langages souvent indispensables en développement back-end. Il est aussi important qu’il maîtrise certains frameworks comme Cake PHP ou Symfony.
Pour un développeur débutant, un salaire allant de 2000€ à 2200€/net par mois est envisageable. En évoluant, il pourra toucher entre 3000€ et 3200€/net par mois. Ces chiffres dépendent évidemment de l’entreprise et du statut du développeur (freelance ou non).
Ce métier vous intéresse ?
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Dans cet article, nous allons détailler le métier de développeur front-end. En quoi il consiste ? Quelles sont ses missions ? Quel est son salaire ? Vous trouverez ici les réponses à ces questions.
Si vous ne connaissez pas ce terme, vous connaissez peut-être celui de développeur web. En fait, le développeur web se divise en deux branches : front-end et back-end. Le développeur front-end est celui qui va travailler sur le design d’un site web. C’est aussi pour cela qu’on peut confondre UX designer et développeur front-end.
Ses missions sont donc les suivantes :
Entre autres, il vérifiera également qu’un site soit bien responsive, donc pratique sur tout support. Il doit évidemment adapter son travail à celui de développeur back-end. L’important est que tout concorde à l’arrivée.
Comme pour tout métier qui touche au design, le développeur front-end est en premier lieu quelqu’un de créatif. Il sera en effet à l’origine de l’identité visuelle de l’entreprise via son site. Puisque le métier évolue vite, il faut aussi qu’il soit curieux et se renseigne sur les nouvelles normes et les nouvelles pratiques du métier. Il doit également faire preuve de rigueur. Cela lui sera nécessaire pour suivre à la lettre le cahier des charges.
Pour les aspects techniques, il doit au moins maîtriser les langages HTML et CSS. La maîtrise du PHP et JavaScript constituent un bonus non négligeable. Surtout si elle est couplée à des notions sur des frameworks tels que JQuery ou AngularJS.
Pour un développeur débutant, un salaire de 1900€/net par mois est envisageable. Un développeur plus expérimenté et plus ancien peut atteindre entre 2500 et 3000€/net par mois. Certains gagnent encore davantage, mais ce sont des cas plutôt rares. Ces chiffres peuvent varier, d’autant que beaucoup de développeurs front-end sont en freelance.
Ce métier vous intéresse ? Vous pouvez commencer à vous former sur les langages de programmation mentionnés plus haut. Un cursus supérieur en informatique peut aussi vous aider.
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De nos jours, l’e-mail est très utilisé pour communiquer. La plupart des gens ayant accès à un ordinateur et à une connexion Internet l’utilisent pour leurs communications aussi bien personnelles que professionnelles.
Mais comment est né l’e-mail ? Nous vous invitons à découvrir son histoire.
C’est en 1965 que l’e-mail s’introduit au MIT. Il s’agit alors d’un moyen de communication entre utilisateurs d’un même ordinateur. L’année suivante, il évolue pour permettre la communication entre plusieurs machines sur un même réseau.
Et c’est en 1971 que Ray Tomlinson propose l’utilisation du signe @. Ceci dans le but de séparer le nom des utilisateurs de celui des machines. Il crée également les premiers programmes de courriel. Ceux-ci ont finalement joué un rôle important dans le développement du courrier électronique.
Peu à peu, le concept se répand. Les premiers protocoles en rapport, comme le protocole SMTP en 1982, sont créés. Ce sera ensuite au tour des applications, notamment Microsoft Mail pour Mac en 1988. Nous connaitrons également Outlook et Gmail par la suite, aujourd’hui très populaires. Depuis sa création, l’e-mail s’est beaucoup étendu. Nous en venons donc à son utilisation actuelle.
Comme vous le savez sans doute, nous utilisons l’e-mail pour beaucoup de raisons. Les particuliers s’en servent pour communiquer entre eux ou partager des fichiers. Nous l’utilisons aussi au travail, pour communiquer avec nos collègues ou avec notre patron. Et les entreprises l’utilisent comme moyen de communiquer avec leurs clients. Si beaucoup de campagnes ou offres promotionnelles sont pertinentes, ce n’est pas toujours le cas.
Dans votre boîte de messagerie électronique, vous pouvez trouver un onglet « courriers indésirables ». Vous y découvrirez la plupart du temps ce que nous appelons des spams ou des pourriels. Ils consistent en un courrier non sollicité de votre part à des fins publicitaires voire malhonnêtes. Heureusement, il existe des solutions pour vous en préserver.
Ce moyen de communication fait aujourd’hui partie des plus courants. Simple à prendre en main et accessible, les internautes s’en servent de plus en plus. Et il est clair que son histoire ne s’arrête pas ici.
La cryptomonnaie fait de plus en plus parler d’elle. Même si vous n’êtes pas un fervent adepte des achats en ligne, il est probable que vous connaissiez déjà ce terme.
Pour ceux qui ne connaissent pas du tout, il s’agit d’une monnaie digitale utilisée exclusivement en ligne. La plus connue d’entre elle n’est autre que le Bitcoin.
Le Bitcoin fait sa première apparition en 2008, sans doute accélérée par la crise financière mondiale de 2007. C’est donc le 1e novembre 2008 que Satoshi Nakamoto publie le livre blanc du Bitcoin. Le plus intrigant est que la véritable identité de cet individu, ou groupe d’individus, reste inconnue. Le concept est simple : le Bitcoin constitue un système de monnaie électronique entièrement pair-à-pair. Il n’a alors pas besoin de passer à travers une institution financière. Aujourd’hui, il est possible d’acheter du Bitcoin en ligne sur des plateformes spécialisée, comme par exemple Coinbase. Mais de nos jours, on utilise davantage le Bitcoin pour l’investissement que pour les achats.
Depuis la création du Bitcoin, les choses ont bien changé. Certains ont en effet vu en la cryptomonnaie un gros potentiel d’investissement. Pour faire simple, en 2015, acheter un Bitcoin vous aurait coûté aux alentours de 300€. Aujourd’hui, pour acheter un Bitcoin, vous ne dépenserez pas moins de 40000€ ! Cela signifie également que si vous possédez un Bitcoin, vous pourrez le revendre une petite fortune. Le cours du Bitcoin fluctue souvent, puisqu’il s’agit encore de la cryptomonnaie la plus populaire. Mais ce n’est pas la seule. Nous citerons l’Ethereum ou le Ripple, qui sont aussi parmi les plus connues. La plupart se basent sur le système de blockchain.
De nos jours, la cryptomonnaie est, comme déjà mentionné, surtout utilisée pour l’investissement. Bon nombre de gens sont prêts à parier sur l’évolution de leurs cours à leur avantage et décident d’investir. C’est essentiellement ce qui continue de rendre les cryptomonnaies aussi présentes sur Internet.
Il est clair que la cryptomonnaie a connu une immense évolution depuis sa création. Beaucoup supposent qu’elles se démocratiseront de plus en plus avec le temps, à mesure que les monnaies physiques régresseront.
L’ergonomie web est un des points clefs les plus importants en matière de navigation, mais aussi en terme de référencement. Google la prenant en compte notamment pour le positionnement sur les moteurs de recherche. Comment mettre en place les bonnes pratiques ?
Chaque jour, nous utilisons des objets qui facilite notre quotidien. L’ergonomie a pour objectif d’adapter ces objets à l’Homme. Depuis l’avènement des nouvelles technologies, cette discipline a dû s’adapter à Internet, notamment avec l’utilisation des sites web.
Désormais, elle s’inscrit dans le cadre de la création de sites web. En effet, lors de leur conception, il est essentiel de faciliter l’interaction entre l’homme et l’interface. Dans un premier temps du côté du créateur du site mais également des utilisateurs (les internautes) qui vont le consulter.
L’ergonomie web représente donc l’ensemble des aspects de l’interface en question permettant une utilisation efficace, agréable et facile. L’objectif de l’ergonomie web est tout simplement de faciliter l’interaction entre le site web et l’utilisateur.
L’ergonomie est une étape indispensable concernant le bon fonctionnement d’un site web. De plus, si les règles ergonomiques de bases ne sont pas respectées, alors le site web possèdera une mauvaise ergonomie car il ne répondra pas aux attentes des utilisateurs. Un site web se doit également d’être utile, afin de répondre aux besoins des utilisateurs. Néanmoins, cela ne suffit pas à rendre le site ergonomique. Par exemple, une fois l’utilisateur sur le site il est important qu’il trouve facilement ce qu’il recherche et ne quitte pas le site. On parle alors d’utilisabilité, elle se caractérise par l’aptitude d’un objet ou d’un site ici à être utilisé facilement par l’utilisateur.
Tout d’abord, il est important d’optimiser son site d’un point de vue technique. Il est recommandé de respecter dans un premier temps les règles universelles pour une ergonomie web optimale. Ensuite, les trois aspects qui peuvent améliorer directement l’ergonomie de votre site web sont : la vitesse de chargement, l’accessibilité et enfin le responsive.
La vitesse de chargement joue énormément sur l’utilisabilité d’une interface. Si un site web met du temps à charger, il a des chances de décourager facilement les internautes.
L’accessibilité permet elle aussi d’améliorer facilement un site web. Pour une bonne ergonomie, un site se doit d’être accessible sur un maximum de navigateurs. Il est important d’éviter le plus possible les bugs. Il est également nécessaire de concevoir des pages adaptées pour les personnes en situation de handicap.
Enfin, le responsive est le fait de concevoir un design de site adapté pour les téléphones mobiles et tablettes. De plus en plus de personnes naviguent sur internet à l’aide de leurs téléphones. Si votre site web n’est pas adapté pour les smartphones, alors vous risquez de passer à côté de potentiels clients.
Vous pouvez aussi télécharger notre Livre Blanc de l’ergonomie web.
Aujourd’hui, beaucoup de questions trouvent leur réponse sur Wikipédia. Date de naissance d’un chanteur, filmographie d’un acteur, liste des découvertes d’un grand scientifique… Peu importe ce que vous cherchez, vous avez de grandes chances de le trouver sur cette plateforme. Mais comment le projet Wikipédia s’est-il formé ?
La plupart d’entre vous le savent déjà, mais il s’agit d’un site encyclopédique. Tout le monde peut y apporter sa contribution. Vous pouvez partager votre savoir en contribuant à un article sur lequel vous avez des connaissances ou en en créant un nouveau si le sujet que vous voulez aborder n’existe pas déjà. Vous pouvez aussi vous contenter de faire des recherches. Une étude réalisée par l’Université de Washington en 2010 montre en effet que 75% des étudiants interrogés déclarent se servir de l’encyclopédie pour des travaux de recherche ! Quoiqu’il en soit, beaucoup de gens utilisent aujourd’hui Wikipédia.
Wikipédia est lancée le 15 janvier 2001, même si l’idée émerge deux semaines plus tôt. Le projet a en fait pour but de soutenir Nupedia, un projet semblable géré par des experts et sous le contrôle d’un comité scientifique. Malgré un rédacteur en chef à plein de temps et un bon nombre d’éditeurs, la rédaction d’articles sur Nupedia est lente. C’est là que naît Wikipédia. Le projet donc se veut plus ouvert et complémentaire à Nupedia.
La plupart des contributeurs de Nupedia sont réticents à l’idée de l’associer à un site Internet sous la forme d’un wiki. C’est pour cela qu’à son lancement le 15 janvier 2001, Wikipédia possède son propre nom de domaine. Jimmy Wales, l’un des fondateurs du projet, teste alors le site via diverses publications. Vous pouvez d’ailleurs trouver la plus ancienne encore contenue sur le site juste ici.
Rapidement, le site grandit. L’année de son lancement, beaucoup de versions non-anglophones surgissent. Jimmy Wales annonce en 2002 qu’il n’intégrerait jamais de publicités à son projet. Peu après, wikipedia.com devient wikipedia.org. Et finalement, Nupedia ferme en septembre 2003, remplacée par Wikipédia.
Au fil du temps, les contributeurs publient de plus en plus d’articles. La barre des 6 millions est d’ailleurs passée en janvier 2020.
Avec le temps, la plateforme est de plus en plus considérée comme fiable, même si encore parfois rejetée dans le monde de l’enseignement.
D’autant plus que chaque page du site doit être correctement sourcée (sinon elle sera supprimée). Ce qui n’est pas forcément le cas de tous les sites internet…
Finalement, Wikipédia s’impose en tant que leader dans son domaine. Même s’il existe d’autres encyclopédies en ligne, c’est bien elle qui reste la grande première. Vous avez même sans doute remarqué que lorsque vous faites une recherche sur Internet, une page Wikipédia apparaît en première page. C’est grâce à son bon référencement et au trafic généré sur le site. Et sa croissance ne s’arrête pas là. En effet, la fondation a pour but de diversifier la communauté en conservant un taux de participation élevé.
En tout cas, nous pouvons affirmer avec certitude que l’encyclopédie Wikipédia n’est pas encore vouée à disparaître.
Si vous voulez en savoir plus sur le métier de développeur mobile, cet article est fait pour vous. Nous allons vous expliquer en quoi consiste le métier, quelles peuvent en être les missions, ainsi que le salaire.
Le développeur mobile est celui qui développe des applications pour téléphone, tablette et autres appareils mobiles. Il doit donc porter une grande attention à l’affichage de ces applications sur ces appareils. Il peut aussi se spécialiser dans le développement pour Android ou pour iOS par exemple. Les appareils mobiles étant de plus en plus utilisés, ce métier se fait une place d’autant plus importante.
Ses missions sont les suivantes :
De ce fait, il peut adapter un site Internet classique pour une version mobile. Il peut également créer une application mobile qui n’a pas de site web existant. Il pourra finalement développer des jeux vidéos (ou adapter les versions déjà existantes) pour mobile.
Il doit premièrement avoir une parfaite connaissance des normes en vigueurs et des interdits propres au mobile. Il a une bonne connaissance du front-end, est rigoureux et créatif et dispose d’une grande flexibilité.
Pour ce qui est des compétences techniques, le développeur mobile maîtrise plusieurs langages de programmation. Ils diffèrent selon s’il se spécialise en iOS ou en Android. Par exemple :
Ce ne sont toutefois pas les seuls systèmes existants. Généralement, pour les systèmes peu répandus, des API permettant de simplifier la programmation existent. Mais au cas où, le développeur web doit être capable de programmer dans le plus de langages possible.
Le salaire d’un développeur mobile débutant tourne autour de 2200€/net par mois. Il peut facilement être doublé en fin de carrière. Néanmoins, il n’évoluera sans doute pas progressivement. Tout dépend des missions qu’il réalisera au cours de sa carrière et de sa situation. En effet, un salaire peut changer drastiquement entre celui d’un développeur en freelance et celui d’un développeur qui travaille en agence ou en entreprise. La taille et la réputation de l’entreprise jouent aussi sur ce chiffre.
Ce métier vous intéresse ? Une formation en informatique vous sera nécessaire. En attendant, puisqu’il vous faudra maîtriser de nombreux langages, vous pouvez déjà vous renseigner sur ceux-ci.
Cet article va vous présenter le métier de Community Manager (CM). Son profil, ses missions ou encore son salaire : nous vous disons tout.
Si le Community Manager travaille souvent en agence, il peut aussi travailler pour des annonceurs. C’est en effet lui qui s’occupe des réseaux sociaux de la marque pour laquelle il travaille. Il gère donc la communication avec les internautes et fait part à l’entreprise des réactions de sa communauté. Il est en quelque sorte l’ambassadeur de la marque en ligne.
Ses missions sont donc les suivantes :
En résumé, le Community Manager gère grandement la vie de communauté sur Internet. Il doit évidemment faire des retours à l’entreprise, qui adapte ensuite ses choix en conséquence.
Les compétences à avoir changent d’une mission à l’autre. Néanmoins, la maîtrise des réseaux sociaux est nécessaire. Il faut aussi avoir un excellent sens de la communication, une bonne culture web et des capacités de rédaction. Dans l’idéal, un bon CM dispose de notions de référencement ainsi qu’en design. Il doit aussi être une personne stratégique.
Selon les missions, il peut avoir besoin de compétences sur un domaine précis. Quoiqu’il en soit, il lui faut des compétences solides en webmarketing.
Et enfin, le CM est diplomate. Répondre aux internautes avec virulence pourrait en effet affecter l’image de la marque.
Un débutant touche environ 1500€/net par mois. Mais ce chiffre évolue avec l’expérience, surtout s’il travaille pour une marque réputée. Il peut même travailler pour une célébrité !
Ce métier vous attire ? Vous pouvez suivre une formation en communication pour devenir Community Manager.
Généralement, ce qu’on remarque en premier chez une application, c’est son logo. Si nous vous disons Twitter, il est probable que vous pensiez en premier à son logo. La plupart du temps, c’est un infographiste qui en est à l’origine.
L’infographiste est un acteur de la communication visuelle et de la production multimédia. Il est souvent sollicité en publicité, marketing, animation édition, presse, jeux vidéos… Il évolue donc dans de nombreux domaines. Mais il peut également se lancer en freelance et se dédier entièrement à un domaine précis.
Ses missions seront les suivantes :
Finalement, les missions d’un infographiste sont nombreuses et variées. Il devra gérer le processus graphique de A à Z et veiller à produire des résultats qui respectent l’identité visuelle de la marque. Il travaillera aussi bien sur un site web que sur une mise en page pour un jeu vidéo ou un CD par exemple.
Avant tout, l’infographiste a un goût prononcé pour le design et possède de bonnes aptitudes artistiques. Il est également rigoureux, puisqu’il devra suivre un cahier des charges précis. De plus, la créativité et un sens de l’innovation assez développés sont les bienvenus dans ce métier. Et dans l’idéal, un bon niveau en dessin.
L’infographiste doit maîtriser les outils adaptés. Il travaillera en effet souvent sur tablette graphique. Ainsi, il doit savoir maîtriser des logiciels comme Photoshop et Illustrator.
Un infographiste débutant touchera environ 1350€/net par mois. Il pourra atteindre 2500€/net par mois au fil du temps. Bien sûr, ces chiffres sont donnés à titre indicatif. En effet, un infographiste en freelance pourra décider de ses tarifs. Ils évolueront en fonction de son expérience, ses compétence et sa renommée dans le milieu.
Ce métier vous fait envie ? Alors n’hésitez plus. Et si vous voulez travailler dans le design mais que vous ne pensez pas avoir la fibre artistique requise, vous pouvez vous renseigner sur le métier d’UI designer.
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