Archive annuelle | 2022

Le métier de chef de projet CRM

Dans cet article, nous allons présenter le métier de chef de projet CRM. En quoi il consiste ? Quelles sont ses missions ? Quel est son salaire ? Vous trouverez ici les réponses à ces questions.

Chef de projet

En quoi consiste le métier de chef de projet CRM ?

Le chef de projet CRM (gestion de la relation client) est donc responsable de la relation client. Il s’assure de comprendre le client via différentes actions, dans le but de le fidéliser. La satisfaction du client étant au cœur des préoccupations en webmarketing, son rôle se fait de plus en plus important.

Les missions du chef de projet CRM

Ses missions sont donc les suivantes :

  • Définir la conception technique et animer l’équipe MOA
  • Superviser le déroulement du projet
  • Mener le support et la formation des utilisateurs
  • Assurer le suivi du projet en documentant les étapes

Globalement, il gère tout ce qui touche à la clientèle. C’est-à-dire, il s’occupe de gérer les bases de données client, de la fidélisation, de l’analyse du comportement des clients… Il doit aussi optimiser les programmes et s’occupe du marketing.

Les compétences requises pour ce métier

Pour faire ce métier, il faut être quelqu’un d’organisé. En plus, le chef de projet CRM sera souvent à la tête d’une équipe. Il doit avoir une excellente connaissance du marketing, ainsi qu’en communication. Il sait également anticiper les besoins des clients et des annonceurs et utiliser les chiffres recueillis. Enfin, il doit constamment se renseigner sur la concurrence et être très rigoureux.

Côté salaire

En début de carrière, il est possible de percevoir un salaire de 2900€/net par mois. Mais il est important de prendre en compte le fait que personne ne peut atteindre ce poste sans expérience. C’est pourquoi un début de carrière dans le métier ne constituera pas un début de carrière globale. En fin de carrière, il pourra toutefois toucher 4200€/net par mois.

Ce métier vous attire ? Une formation dans le marketing vous sera nécessaire. Vous pouvez également vous renseigner sur le métier de consultant SEO.

Le métier d’intégrateur web

Si vous voulez en savoir plus sur le métier d’intégrateur web, nous vous invitons à poursuivre votre lecture. Nous allons vous expliquer en quoi consiste le métier, quelles peuvent en être les missions, ainsi que le salaire.

Integrateur web

En quoi consiste le métier d’intégrateur web ?

L’intégrateur web assemble les différents éléments d’un site web de façon optimale. Il monte les pages en réunissant tout ce que souhaite le chef de projet. Le texte, les images ou même les liens hypertextes sont intégrés à cette occasion. En bref, son travail se situe à mi-chemin entre le webdesign et le développement web.

Les missions de l’intégrateur web

Ses missions sont donc les suivantes :

  • Assembler tous les éléments d’une page web
  • Traduire les maquettes graphiques en HTML
  • Manipuler différents langages et différentes technologies
  • Assister les collaborateurs dans leurs choix de formats

Comme nous l’avons déjà mentionné, il se situe entre le développeur et le designer. Une partie de son travail sera donc de veiller à ce que le site soit compatible avec tout support. Il manipulera aussi le code pour y intégrer les éléments nécessaires. Mais il ne devra pas laisser de côté l’aspect visuel du rendu final !

Les compétences requises pour ce métier

Comme vous l’aurez compris, ce métier requiert une certaine polyvalence. Et ce, aussi bien dans la connaissance des conventions en terme de design qu’en langages de programmation. Pour commencer sur les aspects les moins techniques, l’intégrateur web est autonome, organisé, rigoureux et par-dessus tout créatif.
Et pour le reste, une connaissance en langages de programmation tels que HTML, CSS, PHP ou JavaScript est la bienvenue.

Côté salaire

Le salaire d’un débutant tourne autour de 1700€/net par mois. Cependant, les intégrateurs web sont généralement recrutés davantage par rapport à leurs réalisations antérieures et leur expérience que par rapport à leurs diplômes. C’est pourquoi le salaire évolue beaucoup d’un intégrateur web à l’autre. Les plus compétents pourront travailler au sein d’agences ou d’ESN. Mais il est fréquent de trouver d’excellents intégrateurs web en freelance !

Ce métier vous intéresse ? Nous vous conseillons de lire notre article sur les langages clés du monde du web. Vous pouvez aussi envisager une formation supérieure en informatique (DUT, BTS, licence…).

Le métier de développeur back-end

Dans cet article, nous allons détailler le métier de développeur back-end. En quoi il consiste ? Quelles sont ses missions ? Quel est son salaire ? Vous trouverez ici les réponses à ces questions.

Le métier de développeur web

En quoi consiste le métier de développeur back-end ?

Si vous ne connaissez pas ce terme, vous connaissez peut-être celui de développeur web. En fait, le développeur web se divise en deux branches : front-end et back-end. Le développeur back-end est celui qui va travailler sur le fonctionnement interne du site. Il manipule donc les bases de données et le code du site. C’est finalement celui qui veille à ce que tout soit fonctionnel.

Les missions du développeur back-end

Ses missions sont donc les suivantes :

  • Concevoir l’infrastructure de l’application web et la tenir à jour
  • Développer la plateforme de gestion de contenu
  • Vérifier le bon fonctionnement de l’application
  • Effectuer les maintenances de la base de données et de l’application

Ainsi, comme déjà mentionné, il veille au bon fonctionnement d’un site ou d’une application web. Son rôle est donc très important. Sans lui, tout ce que vous ne voyez pas en naviguant sur un site mais qui est pourtant indispensable ne serait pas là.

Les compétences requises pour ce métier

Le développeur back-end dispose d’une grande rigueur. En effet, il doit s’assurer que toutes les fonctionnalités prévues soient bien implémentées. Il doit aussi corriger toutes les erreurs qui peuvent interférer dans le fonctionnement de l’application. Il est également touche à tout en terme de langages de programmation.

En effet, ses compétences sont surtout techniques. Il doit maîtriser bon nombre de langages de programmation. Par exemple, PHP, Ruby, Python et SQL sont des langages souvent indispensables en développement back-end. Il est aussi important qu’il maîtrise certains frameworks comme Cake PHP ou Symfony.

Côté salaire

Pour un développeur débutant, un salaire allant de 2000€ à 2200€/net par mois est envisageable. En évoluant, il pourra toucher entre 3000€ et 3200€/net par mois. Ces chiffres dépendent évidemment de l’entreprise et du statut du développeur (freelance ou non).

Ce métier vous intéresse ?

Découvrez-en d’autres dans notre catégorie sur les jobs du web.

Le métier de développeur front-end

Dans cet article, nous allons détailler le métier de développeur front-end. En quoi il consiste ? Quelles sont ses missions ? Quel est son salaire ? Vous trouverez ici les réponses à ces questions.

Développeur web

En quoi consiste le métier de développeur front-end ?

Si vous ne connaissez pas ce terme, vous connaissez peut-être celui de développeur web. En fait, le développeur web se divise en deux branches : front-end et back-end. Le développeur front-end est celui qui va travailler sur le design d’un site web. C’est aussi pour cela qu’on peut confondre UX designer et développeur front-end.

Les missions du développeur front-end

Ses missions sont donc les suivantes :

  • Créer une interface graphique à partir de maquettes
  • Vérifier la compatibilité d’un site avec les navigateurs web
  • Vérifier la fluidité et la rapidité de la navigation
  • Rendre le site conforme aux normes comme la W3C
  • Optimiser l’ergonomie des sites

Entre autres, il vérifiera également qu’un site soit bien responsive, donc pratique sur tout support. Il doit évidemment adapter son travail à celui de développeur back-end. L’important est que tout concorde à l’arrivée.

Les compétences requises pour ce métier

Comme pour tout métier qui touche au design, le développeur front-end est en premier lieu quelqu’un de créatif. Il sera en effet à l’origine de l’identité visuelle de l’entreprise via son site. Puisque le métier évolue vite, il faut aussi qu’il soit curieux et se renseigne sur les nouvelles normes et les nouvelles pratiques du métier. Il doit également faire preuve de rigueur. Cela lui sera nécessaire pour suivre à la lettre le cahier des charges.

Pour les aspects techniques, il doit au moins maîtriser les langages HTML et CSS. La maîtrise du PHP et JavaScript constituent un bonus non négligeable. Surtout si elle est couplée à des notions sur des frameworks tels que JQuery ou AngularJS.

Côté salaire

Pour un développeur débutant, un salaire de 1900€/net par mois est envisageable. Un développeur plus expérimenté et plus ancien peut atteindre entre 2500 et 3000€/net par mois. Certains gagnent encore davantage, mais ce sont des cas plutôt rares. Ces chiffres peuvent varier, d’autant que beaucoup de développeurs front-end sont en freelance.

Ce métier vous intéresse ? Vous pouvez commencer à vous former sur les langages de programmation mentionnés plus haut. Un cursus supérieur en informatique peut aussi vous aider.

Découvrez d’autres jobs dans notre catégorie dédiée au métier du web.

L’e-mail : son histoire

De nos jours, l’e-mail est très utilisé pour communiquer. La plupart des gens ayant accès à un ordinateur et à une connexion Internet l’utilisent pour leurs communications aussi bien personnelles que professionnelles.
Mais comment est né l’e-mail ? Nous vous invitons à découvrir son histoire.

mail, son histoire
mail, son histoire

La naissance de l’e-mail

C’est en 1965 que l’e-mail s’introduit au MIT. Il s’agit alors d’un moyen de communication entre utilisateurs d’un même ordinateur. L’année suivante, il évolue pour permettre la communication entre plusieurs machines sur un même réseau.
Et c’est en 1971 que Ray Tomlinson propose l’utilisation du signe @. Ceci dans le but de séparer le nom des utilisateurs de celui des machines. Il crée également les premiers programmes de courriel. Ceux-ci ont finalement joué un rôle important dans le développement du courrier électronique.

Evolution de l’e-mail jusque nos jours

Peu à peu, le concept se répand. Les premiers protocoles en rapport, comme le protocole SMTP en 1982, sont créés. Ce sera ensuite au tour des applications, notamment Microsoft Mail pour Mac en 1988. Nous connaitrons également Outlook et Gmail par la suite, aujourd’hui très populaires. Depuis sa création, l’e-mail s’est beaucoup étendu. Nous en venons donc à son utilisation actuelle.

Et aujourd’hui ?

Comme vous le savez sans doute, nous utilisons l’e-mail pour beaucoup de raisons. Les particuliers s’en servent pour communiquer entre eux ou partager des fichiers. Nous l’utilisons aussi au travail, pour communiquer avec nos collègues ou avec notre patron. Et les entreprises l’utilisent comme moyen de communiquer avec leurs clients. Si beaucoup de campagnes ou offres promotionnelles sont pertinentes, ce n’est pas toujours le cas.

Les courriers indésirables ou « pourriels »

Dans votre boîte de messagerie électronique, vous pouvez trouver un onglet « courriers indésirables ». Vous y découvrirez la plupart du temps ce que nous appelons des spams ou des pourriels. Ils consistent en un courrier non sollicité de votre part à des fins publicitaires voire malhonnêtes. Heureusement, il existe des solutions pour vous en préserver.

En conclusion

Ce moyen de communication fait aujourd’hui partie des plus courants. Simple à prendre en main et accessible, les internautes s’en servent de plus en plus. Et il est clair que son histoire ne s’arrête pas ici.

La cryptomonnaie : son histoire

La cryptomonnaie fait de plus en plus parler d’elle. Même si vous n’êtes pas un fervent adepte des achats en ligne, il est probable que vous connaissiez déjà ce terme.
Pour ceux qui ne connaissent pas du tout, il s’agit d’une monnaie digitale utilisée exclusivement en ligne. La plus connue d’entre elle n’est autre que le Bitcoin.

Cryptomonnaie

La naissance du Bitcoin

Le Bitcoin fait sa première apparition en 2008, sans doute accélérée par la crise financière mondiale de 2007. C’est donc le 1e novembre 2008 que Satoshi Nakamoto publie le livre blanc du Bitcoin. Le plus intrigant est que la véritable identité de cet individu, ou groupe d’individus, reste inconnue. Le concept est simple : le Bitcoin constitue un système de monnaie électronique entièrement pair-à-pair. Il n’a alors pas besoin de passer à travers une institution financière. Aujourd’hui, il est possible d’acheter du Bitcoin en ligne sur des plateformes spécialisée, comme par exemple Coinbase. Mais de nos jours, on utilise davantage le Bitcoin pour l’investissement que pour les achats.

L’avènement de la cryptomonnaie

Depuis la création du Bitcoin, les choses ont bien changé. Certains ont en effet vu en la cryptomonnaie un gros potentiel d’investissement. Pour faire simple, en 2015, acheter un Bitcoin vous aurait coûté aux alentours de 300€. Aujourd’hui, pour acheter un Bitcoin, vous ne dépenserez pas moins de 40000€ ! Cela signifie également que si vous possédez un Bitcoin, vous pourrez le revendre une petite fortune. Le cours du Bitcoin fluctue souvent, puisqu’il s’agit encore de la cryptomonnaie la plus populaire. Mais ce n’est pas la seule. Nous citerons l’Ethereum ou le Ripple, qui sont aussi parmi les plus connues. La plupart se basent sur le système de blockchain.

A quoi sert la cryptomonnaie aujourd’hui ?

De nos jours, la cryptomonnaie est, comme déjà mentionné, surtout utilisée pour l’investissement. Bon nombre de gens sont prêts à parier sur l’évolution de leurs cours à leur avantage et décident d’investir. C’est essentiellement ce qui continue de rendre les cryptomonnaies aussi présentes sur Internet.

Il est clair que la cryptomonnaie a connu une immense évolution depuis sa création. Beaucoup supposent qu’elles se démocratiseront de plus en plus avec le temps, à mesure que les monnaies physiques régresseront.

L’ergonomie web

L’ergonomie web est un des points clefs les plus importants en matière de navigation, mais aussi en terme de référencement. Google la prenant en compte notamment pour le positionnement sur les moteurs de recherche. Comment mettre en place les bonnes pratiques ?

Quels sont ses principes ?

Chaque jour, nous utilisons des objets qui facilite notre quotidien. L’ergonomie a pour objectif d’adapter ces objets à l’Homme. Depuis l’avènement des nouvelles technologies, cette discipline a dû s’adapter à Internet, notamment avec l’utilisation des sites web.

Désormais, elle s’inscrit dans le cadre de la création de sites web. En effet, lors de leur conception, il est essentiel de faciliter l’interaction entre l’homme et l’interface. Dans un premier temps du côté du créateur du site mais également des utilisateurs (les internautes) qui vont le consulter.

L’ergonomie web représente donc l’ensemble des aspects de l’interface en question permettant une utilisation efficace, agréable et facile. L’objectif de l’ergonomie web est tout simplement de faciliter l’interaction entre le site web et l’utilisateur.

Ergonomie web

En quoi l’ergonomie d’un site web est-elle si importante ?

L’ergonomie est une étape indispensable concernant le bon fonctionnement d’un site web. De plus, si les règles ergonomiques de bases ne sont pas respectées, alors le site web possèdera une mauvaise ergonomie car il ne répondra pas aux attentes des utilisateurs. Un site web se doit également d’être utile, afin de répondre aux besoins des utilisateurs. Néanmoins, cela ne suffit pas à rendre le site ergonomique. Par exemple, une fois l’utilisateur sur le site il est important qu’il trouve facilement ce qu’il recherche et ne quitte pas le site. On parle alors d’utilisabilité, elle se caractérise par l’aptitude d’un objet ou d’un site ici à être utilisé facilement par l’utilisateur.

Par quels moyens peut-on améliorer l’ergonomie de son site web ?

Tout d’abord, il est important d’optimiser son site d’un point de vue technique. Il est recommandé de respecter dans un premier temps les règles universelles pour une ergonomie web optimale. Ensuite, les trois aspects qui peuvent améliorer directement l’ergonomie de votre site web sont : la vitesse de chargement, l’accessibilité et enfin le responsive.

La vitesse de chargement joue énormément sur l’utilisabilité d’une interface. Si un site web met du temps à charger, il a des chances de décourager facilement les internautes.

L’accessibilité permet elle aussi d’améliorer facilement un site web. Pour une bonne ergonomie, un site se doit d’être accessible sur un maximum de navigateurs. Il est important d’éviter le plus possible les bugs. Il est également nécessaire de concevoir des pages adaptées pour les personnes en situation de handicap.

Enfin, le responsive est le fait de concevoir un design de site adapté pour les téléphones mobiles et tablettes. De plus en plus de personnes naviguent sur internet à l’aide de leurs téléphones. Si votre site web n’est pas adapté pour les smartphones, alors vous risquez de passer à côté de potentiels clients.

Vous pouvez aussi télécharger notre Livre Blanc de l’ergonomie web.