Archive de l’étiquette internet

Un management qui stimule la créativité

Ah, le management bienveillant… Vous connaissez ? Non ? Eh bien. Pour commencer, c’est une approche de gestion et de management qui consiste à créer un environnement de travail favorable à la croissance personnelle et professionnelle des employés. En gros, c’est comme prendre soin de vos plantes d’intérieur. Mais au lieu d’arroser vos salariés tous les jours, vous leur offrez des opportunités de développement personnel et de stimulation intellectuelle.

Ce type de management est étroitement lié à la créativité au sein de votre entreprise. On vous explique pourquoi :

Un management encourageant

Tout d’abord, la créativité est essentielle dans le monde des affaires, nous sommes bien d’accord là dessus. Elle permet aux entreprises de trouver des solutions innovantes et aussi de se démarquer de la concurrence.

Dans les métiers créatifs, comme ceux du secteur de la communication elle est essentielle !

Mais comment stimuler la créativité de vos employés ? Eh bien, le management bienveillant peut être la réponse. Bien que l’on vous conseille fortement de mettre en place ce type de management pour la simple est bonne raison, qu’il est sensé être le seul et unique management.

Les leaders bienveillants permettent à leurs employés de s’épanouir et d’être plus créatifs dans leur travail. Et quand vos employés se sentent valorisés et appréciés pour leur travail. Ils ont tendance à être plus impliqués et engagés dans leur travail. Alors, cela peut conduire à des solutions innovantes et créatives qui pourraient avoir un impact significatif sur votre entreprise.

Un management qui stimule la créativité

Encourager la communication et la transparence

Un autre aspect important du management bienveillant est la communication. Les managers bienveillants encouragent une communication ouverte et honnête avec leurs employés, ce qui permet de créer un environnement de travail plus transparent. De plus, les employés sont plus susceptibles de partager leurs idées et leurs préoccupations lorsqu’ils ont confiance dans la réaction de leur manager. Les gestionnaires bienveillants prennent également le temps de fournir des commentaires constructifs et de reconnaître le travail de leurs employés. Et ça, c’est assez important car puisque vos employés se sentent écoutés et compris, ils sont plus susceptibles de s’engager dans le processus créatif.

Accorder de la confiance aux employés

Enfin, la confiance est un élément clé du management bienveillant. Les managers bienveillants font confiance à leurs employés pour prendre des décisions et accomplir leur travail de manière autonome. Les employés ont plus de liberté pour expérimenter et explorer de nouvelles idées lorsqu’ils se sentent soutenus et encouragés. Alors, cette confiance peut conduire à des solutions innovantes et créatives.

En résumé, le management bienveillant peut stimuler la créativité dans votre entreprise en créant un environnement de travail positif, en encourageant la communication, la confiance, la responsabilisation et l’autonomie.

Alors, si vous voulez que votre entreprise prospère et se démarque de la concurrence, n’hésitez pas à adopter une approche bienveillante de gestion des employés. Vos employés vous en seront reconnaissants !

Le vishing, la nouvelle menace

Tout d’abord, le vishing est une forme de fraude qui consiste à utiliser la voix pour obtenir des informations personnelles et financières des victimes. Cette méthode peut être utilisée via un appel téléphonique. Voire même un message vocal, ou même via une application de messagerie instantanée.

De plus, les escrocs derrière le vishing utilisent souvent des tactiques de persuasion. Dans le but de convaincre leurs victimes de fournir leurs informations. Telles que des menaces, des promesses ou des manipulations émotionnelles.

Vishing la nouvelle menace

D’ou vient-il ?

Le vishing est apparu dans les années 1990 avec l’avènement de la technologie de reconnaissance vocale. Au départ, les escrocs utilisaient des systèmes automatisés pour effectuer des appels en série aux victimes potentielles. Mais avec l’évolution de la technologie, les méthodes de vishing sont devenues plus sophistiquées et plus difficiles à détecter.

Au fil du temps, les escrocs ont commencé à utiliser des techniques de persuasion plus avancées pour tromper les victimes. Les voleurs peuvent utiliser des logiciels pour masquer leur numéro de téléphone ou faire semblant d’être appelés d’une entreprise ou d’un service gouvernemental.

Malgré les efforts des gouvernements et des entreprises pour lutter contre le vishing. Il reste une menace sérieuse pour les consommateurs à travers le monde. Les victimes sont encouragées à être vigilantes et à prendre les mesures de sécurité appropriées pour protéger leurs données contre les escrocs de vishing.

Les formes de vishing ?

Le vishing peut prendre plusieurs formes différentes. Par exemple, les fraudeurs peuvent prétendre être des représentants de banques, de services de cartes de crédit ou des services gouvernementaux. Afin de demander aux victimes de confirmer leurs informations personnelles ou financières en les contactant. Surtout ne divulguer aucune informations par téléphone !

D’ailleurs, les fraudeurs peuvent également utiliser des techniques d’ingénierie sociale pour inciter les victimes à installer des logiciels malveillants sur leurs ordinateurs ou téléphones. Ou les diriger vers des sites Web frauduleux pour saisir leurs informations.

Vishing

Comment s’en protéger ?

Afin d’éviter d’être victime de vishing, nous vous conseillons de prendre les précautions suivantes :

Soyez méfiant des appels ou messages vocaux suspects. Par exemple, si vous recevez un appel ou un message vocal d’une entreprise ou d’un individu que vous ne connaissez pas. Ne donnez pas votre informations personnelles ou financières.

Ne cliquez pas sur des liens dans des messages vocaux ou des courriels suspects. En effet, les escrocs peuvent utiliser ces liens pour diriger les victimes vers des sites Web frauduleux qui ressemblent à des sites de banques, mais qui en réalité sont conçus pour voler vos informations.

Ne téléchargez pas de logiciels malveillants. Lorsque vous recevez un appel ou un message vocal vous demandant de télécharger un logiciel, ne le faites pas. Les escrocs peuvent utiliser ce logiciel pour accéder à vos informations personnelles et financières.

Aussi, contactez directement l’entreprise ou le service gouvernemental. Si vous recevez un appel ou un message vocal qui prétend être de votre banque ou d’un service gouvernemental. Contactez-les directement en utilisant un numéro de téléphone ou un site Web officiel que vous connaissez.

Pour conclure

En conclusion, cette menace est devenue de plus en plus sophistiquée au fil des ans. Avec des escrocs utilisant des techniques de persuasion avancées pour tromper les victimes. Il est important de prendre les mesures de sécurité appropriées pour vous protéger contre les escrocs de vishings. Telles que la vigilance face aux appels ou messages vocaux suspects. La prudence lors du clic sur des liens dans des messages vocaux ou des courriels, et la non-installation de logiciels malveillants. En étant conscient de ce risque et en prenant les précautions nécessaires, les consommateurs peuvent minimiser les chances d’être victimes de vishing.

Le piratage MitM

Le piratage Man-in-the-Middle (MITM) est une forme de piratage de sécurité informatique. Il vise à intercepter les communications entre deux parties. Il sert à voler des informations sensibles telles que des mots de passe, des informations bancaires et des données personnelles.

Le piratage « man-in-the-middle » (MitM) existe depuis l’apparition des premières communications réseau. Les premières formes de MitM ont été utilisées dans les années 1970 pour surveiller les communications militaires et diplomatiques. Mais avec le développement de l’Internet et de la technologie de l’information. Cette technique de piratage s’est étendue à tous les types de communications en ligne.

Comment fonctionne le MitM ?

Le MITM est possible grâce à la mise en place d’un intermédiaire malveillant qui se place entre l’expéditeur et le destinataire d’un message. L’intermédiaire peut alors lire, modifier voire même bloquer les communications. Tout en faisant croire aux parties qu’elles communiquent directement entre elles. Alors que pas du tout ! Et avouons le, c’est effrayant ! Comment savoir que l’on se fait pirater alors qu’aucun indice n’est détectable au premier abord ?

Leurs techniques

Il existe plusieurs techniques utilisées pour réaliser un MitM. L’une des plus courantes est l’utilisation d’un réseau Wi-Fi public non sécurisé. Comme lorsque l’on mange dans un fast-food, il y a souvent un réseau gratuit et disponible à tous. Vous voyez de quoi il s’agit. À l’aide de ces réseaux, les pirates peuvent créer un point d’accès Wi-Fi malveillant qui ressemble à un réseau légitime. Et inciter les utilisateurs à se connecter à celui-ci. Une fois connecté, les pirates peuvent intercepter les communications et voler des informations sensibles. Alors, on ne sait pas vous, mais nous on ne se connecte plus au réseau gratuit !

Une autre technique courante est l’utilisation d’un logiciel malveillant sur l’ordinateur de la victime. Ce logiciel peut d’ailleurs s’installer via des techniques d’ingénierie sociale comme des courriels de phishing ou des téléchargements de logiciels malveillants. Une fois installé, le logiciel peut intercepter les communications en utilisant des techniques de « proxy » pour rediriger les données vers le pirate.

Il existe également des techniques plus avancées et complexes pour des amateurs. Par exemple il y a l’utilisation de certificats de sécurité falsifiés pour masquer l’interception des communications. Ces techniques ciblent souvent des entreprises ou des organisations, et servent pour espionner des activités commerciales ou gouvernementales.

Piratage Mitm

Comment s’en protéger ?

Pour se protéger contre les attaques MITM, il est important d’utiliser des réseaux sécurisés lorsque cela est possible. Les réseaux Wi-Fi sécurisés utilisent des protocoles de sécurité tels que WPA2 pour chiffrer les communications. Ce qui rend difficile pour les pirates de les intercepter. Il est également important de ne pas se connecter à des réseaux Wi-Fi publics non sécurisés. Et de vérifier l’URL d’un site web pour vous assurer que vous vous connectez à une source légitime.

Il est également important de maintenir un bon niveau de sécurité sur votre ordinateur en utilisant un logiciel anti-virus. Et en étant vigilant lorsque vous ouvrez des courriels ou des téléchargements de logiciels.

Tim Berners Lee : on peut lui dire merci

Pour commencer, sachez que l’invention de Tim Berners Lee vous la connaissez très bien. Vous l’utilisez tous les jours et c’est tout simplement : le Web.

Effectivement, elle compte parmi les inventions les plus importantes du 20e siècle. Le Web a révolutionné le monde de l’information et de la technologie. Il a de plus ouvert plusieurs nouvelles voies, de nouveaux métiers et plus encore.

En premier lieu, son objectif était d’établir un outil à l’aide duquel les scientifiques pourraient partager facilement les données de leurs expériences.

Un enfant déjà passionné

Timothy Berners Lee est né à Londres, en Angleterre le 8 juin 1955. Ses deux parents ont travaillé sur le premier ordinateur commercial, le Ferranti Mark I. À cette époque, les ordinateurs fascinaient déjà Tim.

D’ailleurs, il va étudier la physique à l’université d’Oxford de 1973 à 1976. Il profite alors de ces années pour fabriquer son premier ordinateur à partir d’un microprocesseur Motorola 6800.

La carrière prodigieuse de Tim Berners Lee

Puis, à la fin des années 1970, il a commencé à être consultant indépendant et a travaillé pour de nombreuses entreprises, dont le CERN où il a été ingénieur logiciel consultant de juin à décembre 1980.

En effet, au CERN, il a écrit un programme appelé «Inquire» pour son usage personnel. Il s’agissait d’un simple programme hypertexte qui a créé les bases conceptuelles du développement du web.

Ensuite, en 1989, il a rédigé une proposition pour un système de communication plus efficace au sein de l’organisation.

Le tout premier site Web au monde, Info.cern.ch, a été construit au CERN et mis en ligne le 6 août 1991. Le site fournissait alors des informations sur ce qu’était le World Wide Web et comment il pouvait être utilisé pour le partage d’informations.

Tim Berners Lee

Le World Wide Web, c’est quoi ?

Tout d’abord, Internet est un immense réseau d’ordinateurs connectés entre eux. Cependant, c’est le World Wide Web qui nous permet d’accéder facilement aux informations en nous les affichant de façon plus ludique.

De plus, le World Wide Web a permis à tout le monde d’avoir accès à Internet. Il connectait le monde afin qu’il soit plus facile de communiquer, d’obtenir des informations et de les échanger.

Les récompenses de Tim Berners Lee

  • Il a reçu le prix du système logiciel de l’Association for Computing Machinery (ACM) en 1995.
  • Nommé parmi les 100 personnalités les plus importantes du 20e siècle par le Time Magazine en 1999.
  • Nommé Commandeur de l’Ordre de l’Empire britannique (KBE) lors des honneurs du Nouvel An « pour services rendus au développement mondial d’Internet » en 2004.
  • En 2013, il est devenu l’un des cinq pionniers d’Internet et du Web à recevoir le premier prix Reine Elizabeth pour l’ingénierie.

Notre prochain article parlera de Vinton G. Cerf, l’inventeur d’Internet.

Vinton Cerf : le fondateur d’Internet

Pour commencer, Vinton Cerf est un informaticien et ingénieur américain connu pour être l’un des « pères de l’Internet ». En collaboration avec Robert Kahn, Cerf a développé le protocole de transmission de données TCP/IP. Qui est à la base de la communication sur Internet.

Vinton G Cerf

Le parcours de Vinton Cerf

De plus, Cerf est né en 1943 à New Haven, dans le Connecticut. Il a étudié l’informatique et la philosophie à l’Université Stanford, où il a obtenu son bachelor en 1965. Après avoir obtenu son doctorat en informatique à l’Université UCLA en 1972. Il a rejoint l’agence de recherche en défense ARPA, où il a travaillé sur le développement de l’Internet.

Aussi, en 1973, Cerf et Kahn ont commencé à travailler sur le développement de TCP/IP. Qui est devenu le protocole de communication standard sur Internet. Leur travail a permis de créer une infrastructure de communication capable de relier des ordinateurs situés dans des réseaux différents. Permettant ainsi la création de ce que l’on connaît aujourd’hui sous le nom d’Internet.

La vie bien chargé de Vinton Cerf

Ensuite, Cerf a continué à travailler sur le développement et l’amélioration de l’Internet. En 2005, il est nommé vice-président et chief Internet evangelist pour Google. Où il a travaillé sur l’expansion de l’accès à Internet dans le monde entier.

Deuxièmement, en plus de son travail sur l’Internet, Cerf s’implique dans de nombreux projets et initiatives liés à l’informatique ou à la technologie.

Mais aussi, il a été membre de nombreuses organisations et comités de direction, notamment l’Internet Society, le Computer Science and Telecommunications Board et le Advanced Research Projects Agency.

D’ailleurs, Cerf a reçu de nombreux prix et distinctions pour son travail, y compris le National Medal of Technology, le Presidential Medal of Freedom et le Prix Turing. En 2004, il a été élu Fellow de l’Institut national d’arts et de sciences, et en 2017, il a été intronisé au National Inventors Hall of Fame.

Vous ne le savez sûrement pas

En résumé, Vint Cerf est un informaticien et ingénieur de renom connu pour avoir contribué de manière significative au développement de l’Internet. Sa collaboration avec Robert Kahn a permis la création d’un protocole de communication standard qui a joué un rôle crucial dans la création de l’Internet tel que nous le connaissons aujourd’hui.

Vous pouvez découvrir notre article sur le fondateur du web, Tim Berners Lee.

Le premier achat en ligne va vous surprendre

À sa naissance, Internet ne nous permettait pas encore de réaliser nos achats en ligne. Aujourd’hui commander des articles sur des sites d’e-commerces est un mécanisme bien ancré dans notre vie quotidienne. Mais saviez-vous qu’il y a une rumeur, voire même une légende existante autour du tout premier article acheté en ligne. À votre avis, de quoi s’agit-il ? 

Achat en ligne

Cet achat en ligne là, vous ne l’avez pas vu venir…

Beaucoup croient que le premier achat en ligne fut du cannabis. Effectivement, la « légende » voudrait qu’en 1971, des étudiants de l’université de Stanford aient acheté de la marijuana à des étudiants du MIT. Cependant, il faut savoir que les deux parties ont surtout communiqué, mais ils n’ont pas réalisé la transaction. Ils ont donc fixé un lieu de rendez-vous afin de payer le tout. Nous ne pouvons pas tellement parler d’achat sur internet. 

Oui mais non

Certains pensent que le premier achat d’internet viendrait d’une Britannique, à l’époque âgée de 74 ans, qui, en 1984, aurait utilisé une technologie appelée Vidéotex (une télévision connectée à une ligne téléphonique) pour simplement faire ses courses. 

Mais ce n’était pas vraiment de l’e-commerce puisque le Vidéotex n’a servi qu’à passer une commande que l’on aurait très bien pu passer par téléphone. Les courses ne furent payées, en liquide, qu’au moment où elles ont été livrées. 

Nous y sommes !

C’est en 1994 que le tout premier achat en e-commerce aurait eu lieu, juste après la création du web et plus exactement au mois d’août. 

Un Américain du nom de Dan Kohn avait lancé un site web appelé Net Market et sa première vente fut un CD de Sting (pour être tout à fait précis, il s’agissait de l’album Ten Summoner’s Tales). 

L’album coûtait environ 13 dollars, le paiement s’est fait en ligne, via un moyen sécurisé.

Par la suite, en 1994, la compagnie Pizza Hut a aussi commencé à vendre leurs produits en ligne. C’est pourquoi, on croit parfois que la première chose vraiment vendue sur internet fut une pizza.

Cybersexisme et harcèlement sexuel

Le harcèlement sexuel en ligne et le cybersexisme sont des violences numériques à connaître.

Le devoir d’un parent est de connaitre les risques qu’entrainent les réseaux sociaux. Ce qui est le cas du harcèlement qui peut suivre votre enfant jusque chez lui, depuis son téléphone.

Le harcèlement ne se limite plus à la cour de récréation, il est dorénavant partout et devient un véritable fléau. 

Aujourd’hui, nous voulons vous parler du cybersexisme. 

L’enquête de l’éducation nationale de 2014 montre que 21% des filles contre 15% de garçons sont victimes de cyberviolences et dans « 37% des cas, ce sont des actes à caractère sexistes commis par les garçons envers les filles ». Souligne Clémence Pajot, directrice du centre Hubertine Auclert.

Cybersexisme

Le sexisme sur Internet

Le terme « cybersexisme » désigne les comportements sexistes sur les outils numériques. Qui comportent généralement des stéréotypes, injonctions concernant la sexualité, la façon de s’habiller, l’apparence physique ou le comportement. Avec le sexisme s’instaure alors une hiérarchie entre les sexes et perpétue un système de domination des hommes sur les femmes.

Le cybersexisme, c’est :

  • Être la cible d’insultes relatives à son corps ou de rumeurs sur sa vie amoureuse sur les réseaux sociaux.
  • Recevoir des messages à caractère sexuel qui mettent mal à l’aise.
  • Subir des humiliations répétées par : la création de faux comptes, la diffusion de photos sans accords ou de vidéos intimes, la publication de commentaires blessants ou de menaces.

Ces cyberviolences ont des spécificités à connaître vis-à-vis des violences « ordinaires » : 

–       Les outils numériques qui permettent de diffuser un contenu à une vaste audience en seulement quelques secondes. 

–       Le sentiment d’impunité de l’agresseur qui est renforcé par la distance que les outils numériques permettent d’établir avec la victime. 

Un documentaire pour vous aider à comprendre

Netflix nous présente le documentaire « L’Homme le plus détesté d’Internet» Son nom est Hunter Moore, il est le créateur du site (abominable) IsAnyoneUp.

D’ailleurs, il se nomme lui-même le roi du Revenge porn.

Il a humilié publiquement un nombre incalculable de personnes pour le plaisir. Il aurait piraté des comptes pour ensuite divulguer les photos de ses victimes sans leurs consentement. Et le moins qu’on puisse dire, c’est que c’est une sacrée %$!%.

La série documentaire permet ainsi de mieux comprendre le phénomène de pornodivulgation qui connaît un nouvel essor depuis 2020.

Cette forme de cyberviolence a des conséquences graves sur la victime qui perd confiance en elle, et développe un sentiment d’insécurité. 

Du côté des victimes de cybersexisme

Le cybersexisme ne se traduit cependant pas de la même façon chez les filles et les garçons. 

Notamment parce que les filles sont plus nombreuses à être victimes de ces cyberviolences. On observe souvent deux phénomènes :

  •  Le slut-shaming, qui consiste à isoler socialement une jeune fille parce qu’elle est perçue comme une concurrente par les autres, notamment lorsque cela concerne ses relations avec un garçon, tout en se moquant d’elle et de son physique. 
  • La pornodivulgation, qui consiste à partager des photos ou vidéos intimes sans le consentement de la personne qui y est représentée pour se venger.

Finalement, quelles sont les solutions contre le cybersexisme

Avant tout, vous pouvez renforcer la sécurité de navigation. 

Le contrôle parental : mis gratuitement à disposition par tous les fournisseurs d’accès à internet (et navigateurs), il permet aussi de limiter le temps passé sur internet ou de bloquer l’accès à certains contenus. 

De plus, il y a des logiciels pour protéger les mots de passe et éviter l’usurpation d’identité. Ils permettent de générer des mots de passe dits « forts » et donc difficiles à pirater. 

La configuration des paramètres de confidentialité des réseaux permet ainsi de partager uniquement le contenu que l’utilisateur désire partage.

Familiariser votre enfant aux usages numériques responsables, comme la liberté d’expression et ses limites, les dangers de l’effet de groupe sur les réseaux sociaux.

Mais aussi, apprendre à votre enfant que les propos tenus sur Internet ont des conséquences réelles sur le plan pénal en plus de porter préjudice à la victime.

Installer le contrôle parental sur les appareils numériques de votre enfant, et contrôler régulièrement ses comptes sur les réseaux sociaux et les messageries.

Si vous avez été victime ou si vous voulez aider quelqu’un qui l’a été. Rendez-vous sur le site #StopCyberSexisme ou contactez les numéros verts 3018 ou le 3020 (« Non au harcèlement » et « cyberviolences »).

Le père Noël attire les cyberattaques

Chaque année à l’approche de noël, les sites e-commerces s’attendent à des cyberattaques et à des malwares, ciblant leurs réseaux et leurs applications. Alors que nous associons tous Noël à la magie que l’on aime tant… Cette période des fêtes est traditionnellement propice à des messages permettant de duper les utilisateurs et d’envahir leur ordinateur.

Et cela les cyber-criminels le savent bien. De plus, nous passons plus de temps sur internet pendant cette période afin de trouver les cadeaux parfaits pour nos proches.

Bien que les malwares se présentent sous toutes formes et tailles. Les plus ravageurs vont essayer de vous observer, de dérober vos données ou d’encaisser de l’argent sur votre dos.

Pere noel cyberattaques
P

Comment se protéger des cyberattaques ?

A afin de vivre des périodes de Noël magiques et en toute sécurité vous pouvez suivre les conseils ci-dessous.

  • Ne télécharger des applications mobiles qu’à partir des « App stores » officiels, mais aussi de lire les commentaires avant de les télécharger.
  • Etre extrêmement vigilant lors de l’ouverture d’emails.
  • Éviter de cliquer trop vite sur des liens dans un message. Il vaut mieux saisir soi-même l’adresse du site dans la barre d’adresse du navigateur. S’abstenir surtout d’ouvrir des pièces jointes à un courriel, qui peuvent colporter des codes malveillants.
  • Faire attention aux offres «  trop belles pour être vraies  » publiées sur les réseaux sociaux (comme les billets d’avion gratuits par exemple).
  • Ne jamais accepter de révéler des informations personnelles uniquement dans le but d’obtenir une promotion.
  • Ne pas accepter les demandes d’amis sur les réseaux sociaux des personnes que vous ne connaissez pas dans la vie réelle. 
  • Attendre d’être rentré chez soi avant de publier des photos et commentaires sur ses vacances.
  • Enfin… utiliser des mots de passes robustes et de qualités.

Que faire après une cyberattaque ?

Votre système informatique est victime d’une cyberattaque ? Vous pouvez limiter les conséquences de cet incident, en réagissant de la bonne manière le plus rapidement possible. 

  • Stopper net la propagation : déconnecter du réseau les ordinateurs infectés.
  • Neutraliser l’attaque : faire appel à un spécialiste ou à cybermalveillance.gouv.fr .
  • Déposer plainte auprès de la police ou de la gendarmerie en apportant toutes les preuves de la cyberattaque et alerter votre assureur. Il faut donc sauvegarder les preuves de la cyberattaque et tous les éléments qui s’y rattachent.
  • Et enfin : restaurer le système d’exploitation, mettre à jour tous les outils, modifier tous les mots de passe…

Les VPN : concrètement c’est quoi ?

Vous avez certainement déjà du entendre parler des VPN, sans savoir réellement en quoi ça consiste réellement. 

Je suppose même que l’un de votre oncle vous en a déjà parlé en vous disant à quel point ils sont révolutionnaires autour du barbecue familial annuel. Il a aussi surement dû vous répéter qu’il fallait que vous en preniez un.  Mais qu’est-ce que ça veut dire « prendre un VPN » et qu’est-ce que c’est les V P N, en vrai ?

VPN

En bref

Commençons par le commencement, ces 3 petites lettres veulent dire Virtual Private Network, oui vous vous en doutez ça vient de l’anglais, tout vient toujours de l’anglais, mais en français ça veut simplement dire réseau virtuel privé.

À l’origine ils sont utilisés dans les entreprises. Par exemple, si un employé travaille depuis chez lui, mais qu’il doit accéder au réseau local de l’entreprise. Pour des raisons de sécurités évidentes, le réseau local est inaccessible depuis internet. Mais l’employé qui travaille de chez lui doit s’y connecter. Utiliser un VPN permet de connecter l’ordinateur du domicile de façon sécurisée au réseau de la société. 

Bien que sa définition puisse paraitre complexe, en vérité c’est un outil très simple d’accès.

Cela signifie en bref que votre fournisseur d’accès Internet ne peut pas connaître les sites Web que vous visitez ni les données que vous envoyez et recevez en ligne. 

Voyez le VPN comme un filtre qui transforme toutes vos données de sorte qu’elles ne soient pas exploitables.

Ce logiciel peut aussi prendre forme comme application. 

En effet, il peut très bien s’installer sur une tablette, console, TV connectée ou encore un smartphone (IOS ou Android). 

En France, ce sont environ un tiers des internautes qui utilisent en un.

Les avantages des VPN

Concrètement, quelles sont les principaux avantages et surtout que peut-on faire avec ? 

  • Devenir presque anonyme lors de ses navigations sur Internet. 
  • Lever les restrictions géographiques de certains sites.
  • Profiter du téléchargement. 
  • Se protéger des cyberattaques. 
  • Faire des économies sur certains loisirs (abonnements, billets d’avion, location de voitures…)
  • Accéder à des contenus restreints et débloquer les catalogues de SVOD étrangers.

Ce n’est qu’une liste non exhaustive puisque vous vous en douterez les avantages d’un VPN sont nombreux.

Les inconvénients des VPN

Là où il y a des avantages, il y a aussi des inconvénients. Les VPN en ont aussi. Bien que la liste soit courte, il est important de les connaitre avant de songer souscrire à un VPN.

  • Ralentir la connexion Internet.
  • Le prix de l’abonnement.
  • Les VPN sont interdits et bannis dans certains pays.

Pour conclure

Maintenant que vous nous avons le fonctionnement, les forces mais aussi les faiblesses d’un VPN.

C’est désormais à vous de peser le pour et le contre avant de vous engager. 

Métaverse : la nouvelle folie de Mark Zuckerberg

Un début hors du commun

Facebook occupe une grande place sur internet, et Mark Zuckerberg le fait maintenant entrer dans une nouvelle ère : le métaverse.

Tout d’abord, qui aurait pu prévoir qu’une expérience sociale universitaire en 2004 aurait créé le réseau social comptant près de 3 milliards d’utilisateurs ? 

Certainement pas Mark Zuckerberg.

Depuis, Facebook est le réseau social connu de tous. L’histoire de la fondation de ce géant a été racontée dans le film « The Social Network » réalisé par David Fincher. 

Le métaverse en quelques mots

Cette nouvelle ère s’appelle Meta : mais alors ça veut dire quoi ? 

Vous l’aurez compris, Facebook voit plus grand et souhaite que tout le monde le sache. Le fondateur n’ayant plus qu’une lubie : réinventer Internet avec le métaverse.

Si vous êtes amateur de film, notamment de « Ready Player One » de Steven Spielberg, vous savez de quoi il est question : les métaverses sont l’équivalent de l’OASIS du film.

Mark Zuckerberg

Pour ceux qui n’auraient pas vu ce fameux film, imaginez les métaverses comme une doublure du monde physique accessible par internet et des interfaces dans lesquelles on devrait exister en tant qu’avatar. Facebook l’imagine comme un « internet incarné », votre avatar pourrait par exemple aller à la boulangerie ou alors danser en boite de nuit, le but étant d’avoir une vie sociale numérique bien remplie.

En effet, les géants du web et du jeu vidéo voient le métaverse comme l’un des plus gros progrès technologiques dans l’évolution d’Internet.

Alors, Facebook invente son propre monde virtuel avec ses règles et paramètres bien à lui.

Aujourd’hui il est possible de vivre des expériences liées au métaverses bien que celles-ci soient encore limitées. Comme conduire un bolide ou encore un vaisseau spatial. Soyons fous, tout sera possible désormais.

Les marques s’y mettent aussi

C’est pourquoi, Facebook et la célèbre marque Ray-Ban ont travaillé ensemble pour lancer une paire de lunettes connectées, qui permet de prendre des photos ou vidéos pour ensuite se connecter à un réseau social. 

D’autres marques s’y intéressent notamment : Nike, Gucci, Zara, Adidas, Burberry et bien d’autres encore…

Facebook espère ainsi se familiariser avec ce nouveau monde numérique afin que de nouveaux consommateurs s’intéressent à ce genre d’accessoires.

Alors, ce monde virtuel peut vous paraître effrayant et nous sommes justement là pour vous guider.