Archive de l’étiquette web

Métaverse : la nouvelle folie de Mark Zuckerberg

Un début hors du commun

Facebook occupe une grande place sur internet, et Mark Zuckerberg le fait maintenant entrer dans une nouvelle ère : le métaverse.

Tout d’abord, qui aurait pu prévoir qu’une expérience sociale universitaire en 2004 aurait créé le réseau social comptant près de 3 milliards d’utilisateurs ? 

Certainement pas Mark Zuckerberg.

Depuis, Facebook est le réseau social connu de tous. L’histoire de la fondation de ce géant a été racontée dans le film « The Social Network » réalisé par David Fincher. 

Le métaverse en quelques mots

Cette nouvelle ère s’appelle Meta : mais alors ça veut dire quoi ? 

Vous l’aurez compris, Facebook voit plus grand et souhaite que tout le monde le sache. Le fondateur n’ayant plus qu’une lubie : réinventer Internet avec le métaverse.

Si vous êtes amateur de film, notamment de « Ready Player One » de Steven Spielberg, vous savez de quoi il est question : les métaverses sont l’équivalent de l’OASIS du film.

Mark Zuckerberg

Pour ceux qui n’auraient pas vu ce fameux film, imaginez les métaverses comme une doublure du monde physique accessible par internet et des interfaces dans lesquelles on devrait exister en tant qu’avatar. Facebook l’imagine comme un « internet incarné », votre avatar pourrait par exemple aller à la boulangerie ou alors danser en boite de nuit, le but étant d’avoir une vie sociale numérique bien remplie.

En effet, les géants du web et du jeu vidéo voient le métaverse comme l’un des plus gros progrès technologiques dans l’évolution d’Internet.

Alors, Facebook invente son propre monde virtuel avec ses règles et paramètres bien à lui.

Aujourd’hui il est possible de vivre des expériences liées au métaverses bien que celles-ci soient encore limitées. Comme conduire un bolide ou encore un vaisseau spatial. Soyons fous, tout sera possible désormais.

Les marques s’y mettent aussi

C’est pourquoi, Facebook et la célèbre marque Ray-Ban ont travaillé ensemble pour lancer une paire de lunettes connectées, qui permet de prendre des photos ou vidéos pour ensuite se connecter à un réseau social. 

D’autres marques s’y intéressent notamment : Nike, Gucci, Zara, Adidas, Burberry et bien d’autres encore…

Facebook espère ainsi se familiariser avec ce nouveau monde numérique afin que de nouveaux consommateurs s’intéressent à ce genre d’accessoires.

Alors, ce monde virtuel peut vous paraître effrayant et nous sommes justement là pour vous guider.

Le Cloud : son histoire

Aujourd’hui, pour stocker des photos ou des documents, rien n’est plus simple que le Cloud. La plupart des gens l’utilisent en raison de sa simplicité et surtout de son stockage indépendant du support. Mais même si vous connaissez bien ce service, vous ne savez peut-être pas grand chose de son histoire.

Le Cloud

Le Cloud, qu’est-ce que c’est ?

Le Cloud, de son nom complet Cloud computing, renvoie au réseau de serveurs hébergé sur Internet. Il désigne plus exactement les services de stockage de données en ligne et non directement sur votre machine. Vous pouvez donc y déposer vos photos de vacances et pouvoir les visionner depuis tous vos appareils disposant d’une connexion Internet. Il en va de même pour des documents textuels, des vidéos, des musiques… Vous pouvez en plus de cela partager ces données avec les personnes de votre choix. Ces personnes pourront également modifier vos documents si vous les y autorisez. En bref, le Cloud est un service très pratique. Parmi les services les plus populaires, on trouve notamment Google Drive ou iCloud.

L’histoire de sa création

L’idée du fonctionnement tel que nous le connaissons a vu le jour dans les années 1980. C’est à cette époque que certaines tâches ont commencé à se faire via différents ordinateurs, d’où le besoin d’un espace de stockage accessible à chacun des appareils concernés. Le terme « Cloud » n’est cependant pas utilisé avant 1997 par le professeur Ramnath Chellappa. Deux ans plus tard, la société Salesforce aux Etats-Unis fournit aux entreprises des applications par intermédiaires d’un site web. Cette action représente le premier pas vers le Cloud que nous connaissons.

Sa création a permis une sauvegarde centralisée des données de ses utilisateurs. Plus besoin ainsi de supprimer quoi que ce soit de son ordinateur par manque de place. Plus besoin non plus de s’embêter à transmettre des documents par mail, pour que l’interlocuteur nous les renvoie après les avoir modifiés. En clair, le Cloud a révolutionné la façon de travailler, ou simplement de gérer les données, de beaucoup de monde.

Et maintenant ?

Aujourd’hui, nous utilisons ce service dans un tas de contextes, et à raison. Stockage de documents pour éviter d’acheter un disque dur externe ou par peur d’un dysfonctionnement de l’appareil d’origine, partage de fichiers entre collaborateurs… Le Cloud est désormais quelque chose d’acquis pour la plupart d’entre nous.

Bien sûr, pour vous permettre l’accès à vous donner, vous aurez besoin d’un compte spécifique au service de Cloud que vous utilisez. Si vous craignez que celui-ci ait été piraté, ce qui pourrait porter atteinte à vos données, nous vous invitons à lire cet article.

WhatsApp : son histoire

Avec ses 2 milliards d’utilisateurs dans le monde en 2020, WhatsApp fait partie des applications de chat en temps réel les plus utilisées. Il est donc probable que beaucoup de membres de votre entourage et vous-même l’utilisent. Mais comment est née cette application ?

WhatsApp

La création de WhatsApp

L’idée est née de Jan Koum à la fin des années 2000. Cet homme a grandi à Kiev en Ukraine, à l’époque rattachée à l’URSS. Il se souvient alors de ses parents qui évitaient à tout prix les conversations téléphoniques, car surveillées par les autorités soviétiques. Son but est alors de créer une application dont l’inscription ne demande qu’un numéro de téléphone. Ainsi, pas de profil qui puisse être revendu ni de messages stockés sur l’appareil, donc sujets à surveillance. Il crée ainsi l’application WhatsApp, mélange de « What’s Up » (quoi de neuf) et « App » (application), le 24 février 2009.

L’évolution de WhatsApp

WhatsApp arrive sur le marché en même temps que bien d’autres, comme Facebook Messenger ou ChatON. Elle a toutefois su se démarquer par sa simplicité. Son absence de publicité joue également en sa faveur. Le bouche-à-oreille fait ensuite son travail, et l’application se répand très vite. En 2014, WhatsApp compte 450 millions d’utilisateurs et le nombre de messages échangés quotidiennement sur l’application s’approche du nombre de SMS échangés dans le monde. L’échange de photos y est également plus important que sur Snapshat ou Instagram, dont c’est pourtant l’utilité première.

Le rachat par Facebook

En 2014, Facebook rachète WhatsApp pour 16 milliards de dollars, et Jan Koum intègre le conseil d’administration de Facebook. Mais il démissionne en 2018 suite à un désaccord au sujet de l’utilisation des données personnelles des utilisateurs. Ce qui, rappelons-le, était la source de ses motivations pour créer WhatsApp.

Par la suite, de nouvelles fonctionnalités sont proposées. Service de paiement en ligne en Inde, fonds d’écran de conversation… Des évolutions qui ont un impact sur certains. En effet, depuis cette année, WhatsApp ne fonctionne plus sur les modèles de téléphones commercialisés avant 2012. Mais avec le progrès dans le domaine, peu de gens disposent encore d’un modèle aussi ancien.

Et aujourd’hui ?

WhatsApp permet beaucoup de choses. Echange de messages, de photos, de vidéos, discussions de groupes, appels vocaux et vidéos… L’application en concurrence beaucoup d’autres. C’est sans doute pour cela qu’elle est aussi réputée, car simple d’utilisation et très pratique. Et si elle a passé le cap des 2 milliards d’utilisateurs en 2020, ce n’est pas près de s’arrêter.

En conclusion

WhatsApp n’a cessé de grandir depuis son lancement. Si vous demandez autour de vous, peu de gens ne l’utilisent pas, et tout le monde la connaît au moins de nom. Une chose est sûre : l’application continuera longtemps d’exister.

Le World Wide Web : son histoire

Nous avons la chance de vivre à une époque où nous pouvons communiquer avec des personnes à l’autre bout du monde. En quelques clics, vous pouvez discuter avec votre ami qui vit sur un autre continent. Vous pouvez aussi effectuer des achats en ligne auprès d’entreprises parfois situées à des milliers de kilomètres. Rien de tout cela ne serait possible sans le World Wide Web (WWW). Mais alors, quand et comment cette connexion mondiale s’est-elle établie ?

World Wide Web

L’origine du World Wide Web

C’est un chercheur britannique du nom de Tim Berners-Lee qui est à l’origine du concept, en 1989. A cette époque, il travaillait au CERN et souhaitait que les scientifiques du monde entier puissent s’échanger des informations instantanément. C’est pourquoi l’idée était de mêler les technologies des ordinateurs personnels, des réseaux informatiques et de l’hypertexte pour créer un système d’information mondial.

C’est l’année suivante, en 1990 et en collaboration avec Robert Cailliau, un ingénieur belge, que le projet prend forme. Ainsi, le premier serveur et le premier navigateur sont opérationnels à la fin de l’année.

L’ascension du Web

Si au départ seuls quelques utilisateurs avaient accès au système, Tim Berners-Lee conçoit rapidement un navigateur en ligne exécutable sur tout système. Il présente donc son projet sur une discussion Internet en août 1991, ce qui éveille alors un intérêt mondial.

Rapidement, des serveurs web sont déployés à travers le monde. Bon nombre de développeurs viennent prêter main forte au projet pour aider à le répandre. De nouveaux navigateurs voient le jour et des conférences se tiennent sur le sujet. Tim Berners-Lee quitte le CERN pour rejoindre le MIT en 1994 et fonde le W3C pour encadrer le WWW. Et ensuite, au fil du temps, la progression des technologies permet au WWW de progresser à son tour.

Le World Wide Web aujourd’hui

Désormais, le concept s’est largement démocratisé. La plupart des gens ont accès à la toile et en profitent aussi bien dans la sphère privée (réseaux sociaux, achats en ligne…) que dans la sphère professionnelle (partage de ressources, collaboration directe via des documents sur le Cloud…). Le WWW a également permis la naissance de bon nombre de métiers ! Sans lui, les créateurs de contenus en ligne (blogueurs, vidéastes…) ou encore les développeurs web ne feraient certainement pas de ces activités leur profession.

En conclusion

Finalement, le World Wide Web a révolutionné le monde. La communication peut se faire à travers le monde, le savoir est à portée de chacun grâce aux ressources publiées, que ce soit sur des encyclopédies en ligne comme Wikipédia ou sur des sites ou des blogs dédiés.

En tout cas, il est clair que, du point de vue de beaucoup, un retour en arrière, là où le WWW n’existerait pas, est difficilement envisageable.

Le métier de chef de projet CRM

Dans cet article, nous allons présenter le métier de chef de projet CRM. En quoi il consiste ? Quelles sont ses missions ? Quel est son salaire ? Vous trouverez ici les réponses à ces questions.

Chef de projet

En quoi consiste le métier de chef de projet CRM ?

Le chef de projet CRM (gestion de la relation client) est donc responsable de la relation client. Il s’assure de comprendre le client via différentes actions, dans le but de le fidéliser. La satisfaction du client étant au cœur des préoccupations en webmarketing, son rôle se fait de plus en plus important.

Les missions du chef de projet CRM

Ses missions sont donc les suivantes :

  • Définir la conception technique et animer l’équipe MOA
  • Superviser le déroulement du projet
  • Mener le support et la formation des utilisateurs
  • Assurer le suivi du projet en documentant les étapes

Globalement, il gère tout ce qui touche à la clientèle. C’est-à-dire, il s’occupe de gérer les bases de données client, de la fidélisation, de l’analyse du comportement des clients… Il doit aussi optimiser les programmes et s’occupe du marketing.

Les compétences requises pour ce métier

Pour faire ce métier, il faut être quelqu’un d’organisé. En plus, le chef de projet CRM sera souvent à la tête d’une équipe. Il doit avoir une excellente connaissance du marketing, ainsi qu’en communication. Il sait également anticiper les besoins des clients et des annonceurs et utiliser les chiffres recueillis. Enfin, il doit constamment se renseigner sur la concurrence et être très rigoureux.

Côté salaire

En début de carrière, il est possible de percevoir un salaire de 2900€/net par mois. Mais il est important de prendre en compte le fait que personne ne peut atteindre ce poste sans expérience. C’est pourquoi un début de carrière dans le métier ne constituera pas un début de carrière globale. En fin de carrière, il pourra toutefois toucher 4200€/net par mois.

Ce métier vous attire ? Une formation dans le marketing vous sera nécessaire. Vous pouvez également vous renseigner sur le métier de consultant SEO.

Le métier d’intégrateur web

Si vous voulez en savoir plus sur le métier d’intégrateur web, nous vous invitons à poursuivre votre lecture. Nous allons vous expliquer en quoi consiste le métier, quelles peuvent en être les missions, ainsi que le salaire.

Integrateur web

En quoi consiste le métier d’intégrateur web ?

L’intégrateur web assemble les différents éléments d’un site web de façon optimale. Il monte les pages en réunissant tout ce que souhaite le chef de projet. Le texte, les images ou même les liens hypertextes sont intégrés à cette occasion. En bref, son travail se situe à mi-chemin entre le webdesign et le développement web.

Les missions de l’intégrateur web

Ses missions sont donc les suivantes :

  • Assembler tous les éléments d’une page web
  • Traduire les maquettes graphiques en HTML
  • Manipuler différents langages et différentes technologies
  • Assister les collaborateurs dans leurs choix de formats

Comme nous l’avons déjà mentionné, il se situe entre le développeur et le designer. Une partie de son travail sera donc de veiller à ce que le site soit compatible avec tout support. Il manipulera aussi le code pour y intégrer les éléments nécessaires. Mais il ne devra pas laisser de côté l’aspect visuel du rendu final !

Les compétences requises pour ce métier

Comme vous l’aurez compris, ce métier requiert une certaine polyvalence. Et ce, aussi bien dans la connaissance des conventions en terme de design qu’en langages de programmation. Pour commencer sur les aspects les moins techniques, l’intégrateur web est autonome, organisé, rigoureux et par-dessus tout créatif.
Et pour le reste, une connaissance en langages de programmation tels que HTML, CSS, PHP ou JavaScript est la bienvenue.

Côté salaire

Le salaire d’un débutant tourne autour de 1700€/net par mois. Cependant, les intégrateurs web sont généralement recrutés davantage par rapport à leurs réalisations antérieures et leur expérience que par rapport à leurs diplômes. C’est pourquoi le salaire évolue beaucoup d’un intégrateur web à l’autre. Les plus compétents pourront travailler au sein d’agences ou d’ESN. Mais il est fréquent de trouver d’excellents intégrateurs web en freelance !

Ce métier vous intéresse ? Nous vous conseillons de lire notre article sur les langages clés du monde du web. Vous pouvez aussi envisager une formation supérieure en informatique (DUT, BTS, licence…).

Le métier de développeur back-end

Dans cet article, nous allons détailler le métier de développeur back-end. En quoi il consiste ? Quelles sont ses missions ? Quel est son salaire ? Vous trouverez ici les réponses à ces questions.

Le métier de développeur web

En quoi consiste le métier de développeur back-end ?

Si vous ne connaissez pas ce terme, vous connaissez peut-être celui de développeur web. En fait, le développeur web se divise en deux branches : front-end et back-end. Le développeur back-end est celui qui va travailler sur le fonctionnement interne du site. Il manipule donc les bases de données et le code du site. C’est finalement celui qui veille à ce que tout soit fonctionnel.

Les missions du développeur back-end

Ses missions sont donc les suivantes :

  • Concevoir l’infrastructure de l’application web et la tenir à jour
  • Développer la plateforme de gestion de contenu
  • Vérifier le bon fonctionnement de l’application
  • Effectuer les maintenances de la base de données et de l’application

Ainsi, comme déjà mentionné, il veille au bon fonctionnement d’un site ou d’une application web. Son rôle est donc très important. Sans lui, tout ce que vous ne voyez pas en naviguant sur un site mais qui est pourtant indispensable ne serait pas là.

Les compétences requises pour ce métier

Le développeur back-end dispose d’une grande rigueur. En effet, il doit s’assurer que toutes les fonctionnalités prévues soient bien implémentées. Il doit aussi corriger toutes les erreurs qui peuvent interférer dans le fonctionnement de l’application. Il est également touche à tout en terme de langages de programmation.

En effet, ses compétences sont surtout techniques. Il doit maîtriser bon nombre de langages de programmation. Par exemple, PHP, Ruby, Python et SQL sont des langages souvent indispensables en développement back-end. Il est aussi important qu’il maîtrise certains frameworks comme Cake PHP ou Symfony.

Côté salaire

Pour un développeur débutant, un salaire allant de 2000€ à 2200€/net par mois est envisageable. En évoluant, il pourra toucher entre 3000€ et 3200€/net par mois. Ces chiffres dépendent évidemment de l’entreprise et du statut du développeur (freelance ou non).

Ce métier vous intéresse ?

Découvrez-en d’autres dans notre catégorie sur les jobs du web.

Le métier de développeur front-end

Dans cet article, nous allons détailler le métier de développeur front-end. En quoi il consiste ? Quelles sont ses missions ? Quel est son salaire ? Vous trouverez ici les réponses à ces questions.

Développeur web

En quoi consiste le métier de développeur front-end ?

Si vous ne connaissez pas ce terme, vous connaissez peut-être celui de développeur web. En fait, le développeur web se divise en deux branches : front-end et back-end. Le développeur front-end est celui qui va travailler sur le design d’un site web. C’est aussi pour cela qu’on peut confondre UX designer et développeur front-end.

Les missions du développeur front-end

Ses missions sont donc les suivantes :

  • Créer une interface graphique à partir de maquettes
  • Vérifier la compatibilité d’un site avec les navigateurs web
  • Vérifier la fluidité et la rapidité de la navigation
  • Rendre le site conforme aux normes comme la W3C
  • Optimiser l’ergonomie des sites

Entre autres, il vérifiera également qu’un site soit bien responsive, donc pratique sur tout support. Il doit évidemment adapter son travail à celui de développeur back-end. L’important est que tout concorde à l’arrivée.

Les compétences requises pour ce métier

Comme pour tout métier qui touche au design, le développeur front-end est en premier lieu quelqu’un de créatif. Il sera en effet à l’origine de l’identité visuelle de l’entreprise via son site. Puisque le métier évolue vite, il faut aussi qu’il soit curieux et se renseigne sur les nouvelles normes et les nouvelles pratiques du métier. Il doit également faire preuve de rigueur. Cela lui sera nécessaire pour suivre à la lettre le cahier des charges.

Pour les aspects techniques, il doit au moins maîtriser les langages HTML et CSS. La maîtrise du PHP et JavaScript constituent un bonus non négligeable. Surtout si elle est couplée à des notions sur des frameworks tels que JQuery ou AngularJS.

Côté salaire

Pour un développeur débutant, un salaire de 1900€/net par mois est envisageable. Un développeur plus expérimenté et plus ancien peut atteindre entre 2500 et 3000€/net par mois. Certains gagnent encore davantage, mais ce sont des cas plutôt rares. Ces chiffres peuvent varier, d’autant que beaucoup de développeurs front-end sont en freelance.

Ce métier vous intéresse ? Vous pouvez commencer à vous former sur les langages de programmation mentionnés plus haut. Un cursus supérieur en informatique peut aussi vous aider.

Découvrez d’autres jobs dans notre catégorie dédiée au métier du web.

L’ergonomie web

L’ergonomie web est un des points clefs les plus importants en matière de navigation, mais aussi en terme de référencement. Google la prenant en compte notamment pour le positionnement sur les moteurs de recherche. Comment mettre en place les bonnes pratiques ?

Quels sont ses principes ?

Chaque jour, nous utilisons des objets qui facilite notre quotidien. L’ergonomie a pour objectif d’adapter ces objets à l’Homme. Depuis l’avènement des nouvelles technologies, cette discipline a dû s’adapter à Internet, notamment avec l’utilisation des sites web.

Désormais, elle s’inscrit dans le cadre de la création de sites web. En effet, lors de leur conception, il est essentiel de faciliter l’interaction entre l’homme et l’interface. Dans un premier temps du côté du créateur du site mais également des utilisateurs (les internautes) qui vont le consulter.

L’ergonomie web représente donc l’ensemble des aspects de l’interface en question permettant une utilisation efficace, agréable et facile. L’objectif de l’ergonomie web est tout simplement de faciliter l’interaction entre le site web et l’utilisateur.

Ergonomie web

En quoi l’ergonomie d’un site web est-elle si importante ?

L’ergonomie est une étape indispensable concernant le bon fonctionnement d’un site web. De plus, si les règles ergonomiques de bases ne sont pas respectées, alors le site web possèdera une mauvaise ergonomie car il ne répondra pas aux attentes des utilisateurs. Un site web se doit également d’être utile, afin de répondre aux besoins des utilisateurs. Néanmoins, cela ne suffit pas à rendre le site ergonomique. Par exemple, une fois l’utilisateur sur le site il est important qu’il trouve facilement ce qu’il recherche et ne quitte pas le site. On parle alors d’utilisabilité, elle se caractérise par l’aptitude d’un objet ou d’un site ici à être utilisé facilement par l’utilisateur.

Par quels moyens peut-on améliorer l’ergonomie de son site web ?

Tout d’abord, il est important d’optimiser son site d’un point de vue technique. Il est recommandé de respecter dans un premier temps les règles universelles pour une ergonomie web optimale. Ensuite, les trois aspects qui peuvent améliorer directement l’ergonomie de votre site web sont : la vitesse de chargement, l’accessibilité et enfin le responsive.

La vitesse de chargement joue énormément sur l’utilisabilité d’une interface. Si un site web met du temps à charger, il a des chances de décourager facilement les internautes.

L’accessibilité permet elle aussi d’améliorer facilement un site web. Pour une bonne ergonomie, un site se doit d’être accessible sur un maximum de navigateurs. Il est important d’éviter le plus possible les bugs. Il est également nécessaire de concevoir des pages adaptées pour les personnes en situation de handicap.

Enfin, le responsive est le fait de concevoir un design de site adapté pour les téléphones mobiles et tablettes. De plus en plus de personnes naviguent sur internet à l’aide de leurs téléphones. Si votre site web n’est pas adapté pour les smartphones, alors vous risquez de passer à côté de potentiels clients.

Vous pouvez aussi télécharger notre Livre Blanc de l’ergonomie web.

Wikipédia : son histoire

Aujourd’hui, beaucoup de questions trouvent leur réponse sur Wikipédia. Date de naissance d’un chanteur, filmographie d’un acteur, liste des découvertes d’un grand scientifique… Peu importe ce que vous cherchez, vous avez de grandes chances de le trouver sur cette plateforme. Mais comment le projet Wikipédia s’est-il formé ?

Wikipédia

Wikipédia en quelques mots

La plupart d’entre vous le savent déjà, mais il s’agit d’un site encyclopédique. Tout le monde peut y apporter sa contribution. Vous pouvez partager votre savoir en contribuant à un article sur lequel vous avez des connaissances ou en en créant un nouveau si le sujet que vous voulez aborder n’existe pas déjà. Vous pouvez aussi vous contenter de faire des recherches. Une étude réalisée par l’Université de Washington en 2010 montre en effet que 75% des étudiants interrogés déclarent se servir de l’encyclopédie pour des travaux de recherche ! Quoiqu’il en soit, beaucoup de gens utilisent aujourd’hui Wikipédia.

Un projet pour en soutenir un autre

Wikipédia est lancée le 15 janvier 2001, même si l’idée émerge deux semaines plus tôt. Le projet a en fait pour but de soutenir Nupedia, un projet semblable géré par des experts et sous le contrôle d’un comité scientifique. Malgré un rédacteur en chef à plein de temps et un bon nombre d’éditeurs, la rédaction d’articles sur Nupedia est lente. C’est là que naît Wikipédia. Le projet donc se veut plus ouvert et complémentaire à Nupedia.

Des premiers pas en autonomie

La plupart des contributeurs de Nupedia sont réticents à l’idée de l’associer à un site Internet sous la forme d’un wiki. C’est pour cela qu’à son lancement le 15 janvier 2001, Wikipédia possède son propre nom de domaine. Jimmy Wales, l’un des fondateurs du projet, teste alors le site via diverses publications. Vous pouvez d’ailleurs trouver la plus ancienne encore contenue sur le site juste ici.

La croissance de Wikipédia

Rapidement, le site grandit. L’année de son lancement, beaucoup de versions non-anglophones surgissent. Jimmy Wales annonce en 2002 qu’il n’intégrerait jamais de publicités à son projet. Peu après, wikipedia.com devient wikipedia.org. Et finalement, Nupedia ferme en septembre 2003, remplacée par Wikipédia.
Au fil du temps, les contributeurs publient de plus en plus d’articles. La barre des 6 millions est d’ailleurs passée en janvier 2020.
Avec le temps, la plateforme est de plus en plus considérée comme fiable, même si encore parfois rejetée dans le monde de l’enseignement.

D’autant plus que chaque page du site doit être correctement sourcée (sinon elle sera supprimée). Ce qui n’est pas forcément le cas de tous les sites internet…

En conclusion

Finalement, Wikipédia s’impose en tant que leader dans son domaine. Même s’il existe d’autres encyclopédies en ligne, c’est bien elle qui reste la grande première. Vous avez même sans doute remarqué que lorsque vous faites une recherche sur Internet, une page Wikipédia apparaît en première page. C’est grâce à son bon référencement et au trafic généré sur le site. Et sa croissance ne s’arrête pas là. En effet, la fondation a pour but de diversifier la communauté en conservant un taux de participation élevé.

En tout cas, nous pouvons affirmer avec certitude que l’encyclopédie Wikipédia n’est pas encore vouée à disparaître.