Tout d’abord, bien choisir ses mots de passe n’est pas si facile que ça en a l’air. De plus, on n’a pas forcément le temps de se creuser la tête pour trouver la bonne suite de caractères. Mais aussi, il faut savoir qu’il y a quand même des travers dans lesquels il ne faut surtout pas tomber, lorsque vous choisissez un mot de passe.
NordPass a dévoilé son étude annuelle sur ceux qui sont les plus utilisés dans le monde et l’évaluation de leur sécurité. Le but est de sensibiliser les utilisateurs à propos du choix de leur sécurité.

En 2022, le bilan reste assez identique aux années précédentes. Les mots de passe les plus utilisés sont faibles. Le top 10 montre une majorité qui sont facilement déchiffrables par des personnes malintentionnées. À commencer par la fameuse suite de chiffres 123456. Qui reste le mot de passe le plus choisi par les français et l’un des moins sécurisés…
Voici le top 10 de ceux les plus utilisés en France :
À sa naissance, Internet ne nous permettait pas encore de réaliser nos achats en ligne. Aujourd’hui commander des articles sur des sites d’e-commerces est un mécanisme bien ancré dans notre vie quotidienne. Mais saviez-vous qu’il y a une rumeur, voire même une légende existante autour du tout premier article acheté en ligne. À votre avis, de quoi s’agit-il ?

Beaucoup croient que le premier achat en ligne fut du cannabis. Effectivement, la « légende » voudrait qu’en 1971, des étudiants de l’université de Stanford aient acheté de la marijuana à des étudiants du MIT. Cependant, il faut savoir que les deux parties ont surtout communiqué, mais ils n’ont pas réalisé la transaction. Ils ont donc fixé un lieu de rendez-vous afin de payer le tout. Nous ne pouvons pas tellement parler d’achat sur internet.
Certains pensent que le premier achat d’internet viendrait d’une Britannique, à l’époque âgée de 74 ans, qui, en 1984, aurait utilisé une technologie appelée Vidéotex (une télévision connectée à une ligne téléphonique) pour simplement faire ses courses.
Mais ce n’était pas vraiment de l’e-commerce puisque le Vidéotex n’a servi qu’à passer une commande que l’on aurait très bien pu passer par téléphone. Les courses ne furent payées, en liquide, qu’au moment où elles ont été livrées.
C’est en 1994 que le tout premier achat en e-commerce aurait eu lieu, juste après la création du web et plus exactement au mois d’août.
Un Américain du nom de Dan Kohn avait lancé un site web appelé Net Market et sa première vente fut un CD de Sting (pour être tout à fait précis, il s’agissait de l’album Ten Summoner’s Tales).
L’album coûtait environ 13 dollars, le paiement s’est fait en ligne, via un moyen sécurisé.
Par la suite, en 1994, la compagnie Pizza Hut a aussi commencé à vendre leurs produits en ligne. C’est pourquoi, on croit parfois que la première chose vraiment vendue sur internet fut une pizza.
Facebook occupe une grande place sur internet, et Mark Zuckerberg le fait maintenant entrer dans une nouvelle ère : le métaverse.
Tout d’abord, qui aurait pu prévoir qu’une expérience sociale universitaire en 2004 aurait créé le réseau social comptant près de 3 milliards d’utilisateurs ?
Certainement pas Mark Zuckerberg.
Depuis, Facebook est le réseau social connu de tous. L’histoire de la fondation de ce géant a été racontée dans le film « The Social Network » réalisé par David Fincher.
Cette nouvelle ère s’appelle Meta : mais alors ça veut dire quoi ?
Vous l’aurez compris, Facebook voit plus grand et souhaite que tout le monde le sache. Le fondateur n’ayant plus qu’une lubie : réinventer Internet avec le métaverse.
Si vous êtes amateur de film, notamment de « Ready Player One » de Steven Spielberg, vous savez de quoi il est question : les métaverses sont l’équivalent de l’OASIS du film.

Pour ceux qui n’auraient pas vu ce fameux film, imaginez les métaverses comme une doublure du monde physique accessible par internet et des interfaces dans lesquelles on devrait exister en tant qu’avatar. Facebook l’imagine comme un « internet incarné », votre avatar pourrait par exemple aller à la boulangerie ou alors danser en boite de nuit, le but étant d’avoir une vie sociale numérique bien remplie.
En effet, les géants du web et du jeu vidéo voient le métaverse comme l’un des plus gros progrès technologiques dans l’évolution d’Internet.
Alors, Facebook invente son propre monde virtuel avec ses règles et paramètres bien à lui.
Aujourd’hui il est possible de vivre des expériences liées au métaverses bien que celles-ci soient encore limitées. Comme conduire un bolide ou encore un vaisseau spatial. Soyons fous, tout sera possible désormais.
C’est pourquoi, Facebook et la célèbre marque Ray-Ban ont travaillé ensemble pour lancer une paire de lunettes connectées, qui permet de prendre des photos ou vidéos pour ensuite se connecter à un réseau social.
D’autres marques s’y intéressent notamment : Nike, Gucci, Zara, Adidas, Burberry et bien d’autres encore…
Facebook espère ainsi se familiariser avec ce nouveau monde numérique afin que de nouveaux consommateurs s’intéressent à ce genre d’accessoires.
Alors, ce monde virtuel peut vous paraître effrayant et nous sommes justement là pour vous guider.
Aujourd’hui, pour stocker des photos ou des documents, rien n’est plus simple que le Cloud. La plupart des gens l’utilisent en raison de sa simplicité et surtout de son stockage indépendant du support. Mais même si vous connaissez bien ce service, vous ne savez peut-être pas grand chose de son histoire.

Le Cloud, de son nom complet Cloud computing, renvoie au réseau de serveurs hébergé sur Internet. Il désigne plus exactement les services de stockage de données en ligne et non directement sur votre machine. Vous pouvez donc y déposer vos photos de vacances et pouvoir les visionner depuis tous vos appareils disposant d’une connexion Internet. Il en va de même pour des documents textuels, des vidéos, des musiques… Vous pouvez en plus de cela partager ces données avec les personnes de votre choix. Ces personnes pourront également modifier vos documents si vous les y autorisez. En bref, le Cloud est un service très pratique. Parmi les services les plus populaires, on trouve notamment Google Drive ou iCloud.
L’idée du fonctionnement tel que nous le connaissons a vu le jour dans les années 1980. C’est à cette époque que certaines tâches ont commencé à se faire via différents ordinateurs, d’où le besoin d’un espace de stockage accessible à chacun des appareils concernés. Le terme « Cloud » n’est cependant pas utilisé avant 1997 par le professeur Ramnath Chellappa. Deux ans plus tard, la société Salesforce aux Etats-Unis fournit aux entreprises des applications par intermédiaires d’un site web. Cette action représente le premier pas vers le Cloud que nous connaissons.
Sa création a permis une sauvegarde centralisée des données de ses utilisateurs. Plus besoin ainsi de supprimer quoi que ce soit de son ordinateur par manque de place. Plus besoin non plus de s’embêter à transmettre des documents par mail, pour que l’interlocuteur nous les renvoie après les avoir modifiés. En clair, le Cloud a révolutionné la façon de travailler, ou simplement de gérer les données, de beaucoup de monde.
Aujourd’hui, nous utilisons ce service dans un tas de contextes, et à raison. Stockage de documents pour éviter d’acheter un disque dur externe ou par peur d’un dysfonctionnement de l’appareil d’origine, partage de fichiers entre collaborateurs… Le Cloud est désormais quelque chose d’acquis pour la plupart d’entre nous.
Bien sûr, pour vous permettre l’accès à vous donner, vous aurez besoin d’un compte spécifique au service de Cloud que vous utilisez. Si vous craignez que celui-ci ait été piraté, ce qui pourrait porter atteinte à vos données, nous vous invitons à lire cet article.
Avec ses 2 milliards d’utilisateurs dans le monde en 2020, WhatsApp fait partie des applications de chat en temps réel les plus utilisées. Il est donc probable que beaucoup de membres de votre entourage et vous-même l’utilisent. Mais comment est née cette application ?

L’idée est née de Jan Koum à la fin des années 2000. Cet homme a grandi à Kiev en Ukraine, à l’époque rattachée à l’URSS. Il se souvient alors de ses parents qui évitaient à tout prix les conversations téléphoniques, car surveillées par les autorités soviétiques. Son but est alors de créer une application dont l’inscription ne demande qu’un numéro de téléphone. Ainsi, pas de profil qui puisse être revendu ni de messages stockés sur l’appareil, donc sujets à surveillance. Il crée ainsi l’application WhatsApp, mélange de « What’s Up » (quoi de neuf) et « App » (application), le 24 février 2009.
WhatsApp arrive sur le marché en même temps que bien d’autres, comme Facebook Messenger ou ChatON. Elle a toutefois su se démarquer par sa simplicité. Son absence de publicité joue également en sa faveur. Le bouche-à-oreille fait ensuite son travail, et l’application se répand très vite. En 2014, WhatsApp compte 450 millions d’utilisateurs et le nombre de messages échangés quotidiennement sur l’application s’approche du nombre de SMS échangés dans le monde. L’échange de photos y est également plus important que sur Snapshat ou Instagram, dont c’est pourtant l’utilité première.
En 2014, Facebook rachète WhatsApp pour 16 milliards de dollars, et Jan Koum intègre le conseil d’administration de Facebook. Mais il démissionne en 2018 suite à un désaccord au sujet de l’utilisation des données personnelles des utilisateurs. Ce qui, rappelons-le, était la source de ses motivations pour créer WhatsApp.
Par la suite, de nouvelles fonctionnalités sont proposées. Service de paiement en ligne en Inde, fonds d’écran de conversation… Des évolutions qui ont un impact sur certains. En effet, depuis cette année, WhatsApp ne fonctionne plus sur les modèles de téléphones commercialisés avant 2012. Mais avec le progrès dans le domaine, peu de gens disposent encore d’un modèle aussi ancien.
WhatsApp permet beaucoup de choses. Echange de messages, de photos, de vidéos, discussions de groupes, appels vocaux et vidéos… L’application en concurrence beaucoup d’autres. C’est sans doute pour cela qu’elle est aussi réputée, car simple d’utilisation et très pratique. Et si elle a passé le cap des 2 milliards d’utilisateurs en 2020, ce n’est pas près de s’arrêter.
WhatsApp n’a cessé de grandir depuis son lancement. Si vous demandez autour de vous, peu de gens ne l’utilisent pas, et tout le monde la connaît au moins de nom. Une chose est sûre : l’application continuera longtemps d’exister.
Nous avons la chance de vivre à une époque où nous pouvons communiquer avec des personnes à l’autre bout du monde. En quelques clics, vous pouvez discuter avec votre ami qui vit sur un autre continent. Vous pouvez aussi effectuer des achats en ligne auprès d’entreprises parfois situées à des milliers de kilomètres. Rien de tout cela ne serait possible sans le World Wide Web (WWW). Mais alors, quand et comment cette connexion mondiale s’est-elle établie ?

C’est un chercheur britannique du nom de Tim Berners-Lee qui est à l’origine du concept, en 1989. A cette époque, il travaillait au CERN et souhaitait que les scientifiques du monde entier puissent s’échanger des informations instantanément. C’est pourquoi l’idée était de mêler les technologies des ordinateurs personnels, des réseaux informatiques et de l’hypertexte pour créer un système d’information mondial.
C’est l’année suivante, en 1990 et en collaboration avec Robert Cailliau, un ingénieur belge, que le projet prend forme. Ainsi, le premier serveur et le premier navigateur sont opérationnels à la fin de l’année.
Si au départ seuls quelques utilisateurs avaient accès au système, Tim Berners-Lee conçoit rapidement un navigateur en ligne exécutable sur tout système. Il présente donc son projet sur une discussion Internet en août 1991, ce qui éveille alors un intérêt mondial.
Rapidement, des serveurs web sont déployés à travers le monde. Bon nombre de développeurs viennent prêter main forte au projet pour aider à le répandre. De nouveaux navigateurs voient le jour et des conférences se tiennent sur le sujet. Tim Berners-Lee quitte le CERN pour rejoindre le MIT en 1994 et fonde le W3C pour encadrer le WWW. Et ensuite, au fil du temps, la progression des technologies permet au WWW de progresser à son tour.
Désormais, le concept s’est largement démocratisé. La plupart des gens ont accès à la toile et en profitent aussi bien dans la sphère privée (réseaux sociaux, achats en ligne…) que dans la sphère professionnelle (partage de ressources, collaboration directe via des documents sur le Cloud…). Le WWW a également permis la naissance de bon nombre de métiers ! Sans lui, les créateurs de contenus en ligne (blogueurs, vidéastes…) ou encore les développeurs web ne feraient certainement pas de ces activités leur profession.
Finalement, le World Wide Web a révolutionné le monde. La communication peut se faire à travers le monde, le savoir est à portée de chacun grâce aux ressources publiées, que ce soit sur des encyclopédies en ligne comme Wikipédia ou sur des sites ou des blogs dédiés.
En tout cas, il est clair que, du point de vue de beaucoup, un retour en arrière, là où le WWW n’existerait pas, est difficilement envisageable.
Dans cet article, nous allons présenter le métier de chef de projet CRM. En quoi il consiste ? Quelles sont ses missions ? Quel est son salaire ? Vous trouverez ici les réponses à ces questions.

Le chef de projet CRM (gestion de la relation client) est donc responsable de la relation client. Il s’assure de comprendre le client via différentes actions, dans le but de le fidéliser. La satisfaction du client étant au cœur des préoccupations en webmarketing, son rôle se fait de plus en plus important.
Ses missions sont donc les suivantes :
Globalement, il gère tout ce qui touche à la clientèle. C’est-à-dire, il s’occupe de gérer les bases de données client, de la fidélisation, de l’analyse du comportement des clients… Il doit aussi optimiser les programmes et s’occupe du marketing.
Pour faire ce métier, il faut être quelqu’un d’organisé. En plus, le chef de projet CRM sera souvent à la tête d’une équipe. Il doit avoir une excellente connaissance du marketing, ainsi qu’en communication. Il sait également anticiper les besoins des clients et des annonceurs et utiliser les chiffres recueillis. Enfin, il doit constamment se renseigner sur la concurrence et être très rigoureux.
En début de carrière, il est possible de percevoir un salaire de 2900€/net par mois. Mais il est important de prendre en compte le fait que personne ne peut atteindre ce poste sans expérience. C’est pourquoi un début de carrière dans le métier ne constituera pas un début de carrière globale. En fin de carrière, il pourra toutefois toucher 4200€/net par mois.
Ce métier vous attire ? Une formation dans le marketing vous sera nécessaire. Vous pouvez également vous renseigner sur le métier de consultant SEO.
Si vous voulez en savoir plus sur le métier d’intégrateur web, nous vous invitons à poursuivre votre lecture. Nous allons vous expliquer en quoi consiste le métier, quelles peuvent en être les missions, ainsi que le salaire.

L’intégrateur web assemble les différents éléments d’un site web de façon optimale. Il monte les pages en réunissant tout ce que souhaite le chef de projet. Le texte, les images ou même les liens hypertextes sont intégrés à cette occasion. En bref, son travail se situe à mi-chemin entre le webdesign et le développement web.
Ses missions sont donc les suivantes :
Comme nous l’avons déjà mentionné, il se situe entre le développeur et le designer. Une partie de son travail sera donc de veiller à ce que le site soit compatible avec tout support. Il manipulera aussi le code pour y intégrer les éléments nécessaires. Mais il ne devra pas laisser de côté l’aspect visuel du rendu final !
Comme vous l’aurez compris, ce métier requiert une certaine polyvalence. Et ce, aussi bien dans la connaissance des conventions en terme de design qu’en langages de programmation. Pour commencer sur les aspects les moins techniques, l’intégrateur web est autonome, organisé, rigoureux et par-dessus tout créatif.
Et pour le reste, une connaissance en langages de programmation tels que HTML, CSS, PHP ou JavaScript est la bienvenue.
Le salaire d’un débutant tourne autour de 1700€/net par mois. Cependant, les intégrateurs web sont généralement recrutés davantage par rapport à leurs réalisations antérieures et leur expérience que par rapport à leurs diplômes. C’est pourquoi le salaire évolue beaucoup d’un intégrateur web à l’autre. Les plus compétents pourront travailler au sein d’agences ou d’ESN. Mais il est fréquent de trouver d’excellents intégrateurs web en freelance !
Ce métier vous intéresse ? Nous vous conseillons de lire notre article sur les langages clés du monde du web. Vous pouvez aussi envisager une formation supérieure en informatique (DUT, BTS, licence…).
Dans cet article, nous allons détailler le métier de développeur back-end. En quoi il consiste ? Quelles sont ses missions ? Quel est son salaire ? Vous trouverez ici les réponses à ces questions.

Si vous ne connaissez pas ce terme, vous connaissez peut-être celui de développeur web. En fait, le développeur web se divise en deux branches : front-end et back-end. Le développeur back-end est celui qui va travailler sur le fonctionnement interne du site. Il manipule donc les bases de données et le code du site. C’est finalement celui qui veille à ce que tout soit fonctionnel.
Ses missions sont donc les suivantes :
Ainsi, comme déjà mentionné, il veille au bon fonctionnement d’un site ou d’une application web. Son rôle est donc très important. Sans lui, tout ce que vous ne voyez pas en naviguant sur un site mais qui est pourtant indispensable ne serait pas là.
Le développeur back-end dispose d’une grande rigueur. En effet, il doit s’assurer que toutes les fonctionnalités prévues soient bien implémentées. Il doit aussi corriger toutes les erreurs qui peuvent interférer dans le fonctionnement de l’application. Il est également touche à tout en terme de langages de programmation.
En effet, ses compétences sont surtout techniques. Il doit maîtriser bon nombre de langages de programmation. Par exemple, PHP, Ruby, Python et SQL sont des langages souvent indispensables en développement back-end. Il est aussi important qu’il maîtrise certains frameworks comme Cake PHP ou Symfony.
Pour un développeur débutant, un salaire allant de 2000€ à 2200€/net par mois est envisageable. En évoluant, il pourra toucher entre 3000€ et 3200€/net par mois. Ces chiffres dépendent évidemment de l’entreprise et du statut du développeur (freelance ou non).
Ce métier vous intéresse ?
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Dans cet article, nous allons détailler le métier de développeur front-end. En quoi il consiste ? Quelles sont ses missions ? Quel est son salaire ? Vous trouverez ici les réponses à ces questions.

Si vous ne connaissez pas ce terme, vous connaissez peut-être celui de développeur web. En fait, le développeur web se divise en deux branches : front-end et back-end. Le développeur front-end est celui qui va travailler sur le design d’un site web. C’est aussi pour cela qu’on peut confondre UX designer et développeur front-end.
Ses missions sont donc les suivantes :
Entre autres, il vérifiera également qu’un site soit bien responsive, donc pratique sur tout support. Il doit évidemment adapter son travail à celui de développeur back-end. L’important est que tout concorde à l’arrivée.
Comme pour tout métier qui touche au design, le développeur front-end est en premier lieu quelqu’un de créatif. Il sera en effet à l’origine de l’identité visuelle de l’entreprise via son site. Puisque le métier évolue vite, il faut aussi qu’il soit curieux et se renseigne sur les nouvelles normes et les nouvelles pratiques du métier. Il doit également faire preuve de rigueur. Cela lui sera nécessaire pour suivre à la lettre le cahier des charges.
Pour les aspects techniques, il doit au moins maîtriser les langages HTML et CSS. La maîtrise du PHP et JavaScript constituent un bonus non négligeable. Surtout si elle est couplée à des notions sur des frameworks tels que JQuery ou AngularJS.
Pour un développeur débutant, un salaire de 1900€/net par mois est envisageable. Un développeur plus expérimenté et plus ancien peut atteindre entre 2500 et 3000€/net par mois. Certains gagnent encore davantage, mais ce sont des cas plutôt rares. Ces chiffres peuvent varier, d’autant que beaucoup de développeurs front-end sont en freelance.
Ce métier vous intéresse ? Vous pouvez commencer à vous former sur les langages de programmation mentionnés plus haut. Un cursus supérieur en informatique peut aussi vous aider.
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